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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA

Fantasmes ou réalité ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons

AVERTISSEMENT

Ces histoires que vous allez lire décrivent des relations sexuelles entre adultes consentants, et surtout de même sexe! Si la législation ou les règles morales auxquelles vous obéissez vous interdisent de lire de telles choses, retournez en arrière, il y a plein d'autres choses à voir sur le Net. Si vous êtes curieux, allez-y, régalez-y et découvrez (peut-être) d'autres façons de profiter de la vie. Merci chers amis pour les histoires que vous nous envoyez et qui ravissent les visiteurs du site

 

Dans la chaleur de la nuit

J'avais l'habitude de passer mon temps libre avec deux algériens et un portugais,travaillant sur un chantier d'enfouissement de lignes
électriques.Au moment ou ce passe cette histoire,je suis homme à tout faire dans un hotel,restaurant,bar.Pour qui connaît le métier,point de surprise à suivre.Le travail de 6 heures du matin à 15 heures puis reprise de 18 à 23heures,voire minuit et plus,c'est le lot quotidien.J'avais trois heures de pause et,...toute la nuit pour me dégourdir.Le temps libre avecGouffi,Antonio et djamel,c'était pour moi,une plongée dans mes souvenirs,avec en désir caché,l'espérance d'un corps à corps,violent,passionné,jouissif.A nous quatre,on a écumé,pendant des mois, tout ce qui vit,la nuit,dans ses montagnes de la Tarentaise,sans que je puisse satisfaire mes fantasmes les
plus élaborés.Jusqu'au jour,je devrai dire nuit,ou après la défection de Gouffi et Antonio,pour ivresse terrassante,on a atterri avec Djamel,dans un bar que je ne connaissais pas.Il était tenu par un marocain et fréquenté par tout ce que la vallée,contenait de travailleurs de la Méditérranée.Quand on arrive là,avec Djamel,on a pas bu que de l'eau et on est vraiment très chaud,quoique,Djamel,lui aussi,commence par éprouver une "certaine fatigue.Moi,je sens en entrant comme une onde électrique me parcourir l'échine.Je crois bien que le jour est arrivé de combler un manque.On s'assoit au bar et on commande quelque alcool dont on avait pas besoin,vraiment.Mais bon!A coté de moi,je sens le regard concupiscent d'un magréhbin,en qui je perçois un désir insatisfait.Le regard nous suffit pour comprendre que nous avons la même envie.Sa façon de me mettre la main sur la cuisse,pour me demander d'ou je sors,mon émotion irrépressible pour lui répondre et le fluide est passé.Djamel est,à ce moment là,trés fatigué et demande à ce que je le ramène à son logis.Mon voisin en profite pour me demander de le ramener aussi.Je n'osais en espérer tant.Il me précise son lieu de couche et,bien que ce soit à l'opposé du mien et de celui de Djamel,je m'empresse de dire:"oui".De toute façon,Djamel n'est pas en état de relever l'incohérence du parcours.Je le ramène chez lui,et nous fonçons vers la chambre de mon passager,dans une conduite approximative et rapide,étant donné mon état d'ébriété.Je m'arrête trop loin mais j'éteins le moteur et nous sortons.Resté plus lucide que moi,et pressé de me posséder,mon partenaire m'enserre de son bras et me prend la bouche,sans ménagement en y fourrant sa langue avide.J'e réponds à son patin en lui prenant les couilles à travers son pantalon.Surpris,il enfonce sa langue,tellement profond que je risque l'étouffement en même temps que je pressens la fougue à venir.Il m'emporte alors vers sa maison,son deux pièces avec cuisine et wc commun aux
autres résidents.On s'embrasse fougueusement durant ce trajet,moi titubant presque et lui me pétrissant d'envie et de désir.En entrant,je lui demande à boire et il me fait entrer dans la cuisine ou je me précipite sur le robinet pour boire l'eau fraîche et me passer la tète à l'eau froide.Je me redresse,dégoulinant et il réinvestit ma bouche comme un affamé.Je me jette dans ce baiser avec autant de fougue.Je titube ,emporté par la sensation démente de l'abandon.Je trouve,heureusement le rebord d'une table pour me retenir,sans quoi,je me serais affalé sur le sol,comme si j'avais tourné de l'oeil.La frénésie s'empare de moi et je commence à lui ôter sa chemise,me jeter sur son torse dénudé et légèrement recouvert de poils très frisés,je lui mordille les tétons pendant qu'avec ses deux mains,il me pétrit les fesses.Je tombe à genoux et défais sa ceinture pour dégager son zob.Il a un   slip avec des "mickey" imprimés ce qui me fait rire.Interloqué,il me laisse ainsi et se dirige vers sa chambre.En ouvrant la porte,il me dit que je dois partir car,il n'a pas le droit de faire rentrer un étranger à l'immeuble.Jedeviens fou et je me jette sur sa bouche en le suppliant de me laisser rentrer.Il me bouffe la langue,me baisse le pantalon,sors ma chemise et me broie contre lui,en fourrageant mon cul avec hargne.Puis il réitère son interdit,me laissant,penot,à poil le pantalon sur les chaussures,la bite érigée,devant sa porte.Mon sang ne fait qu'un tour et ramassant mes forces ,je fonce dans le tas et nous nous retrouvons au milieu de sa chambre.Il referme la porte,tourne le verrou,me prend la tète entre ses mains et m'embrasse à nouveau.D'une pression ferme,il la dirige vers son zob et,n'attendant que ça,je le gobe comme une gourmandise,longtemps,refusée.Je
le suce avec avidité.Je voudrais le bouffer,le macher.Je m'en goberge avec délectation,frénétiquement.STOP!,il me relève,me pousse vers son lit ou je m'affale,m'arrache mes chaussures,m'écarte les cuisses en les remontant vers mes épaules et me bourre le cul,d'un coup,sans rien,comme un chien déchainé.Je le repousse,violemment.Je lui crie:"attends!","je te prépare le zob et ,toi,tu craches sur mon cul".Je reprends son sexe sur lequel je bave toute la salive dont je suis capable.Puis je remonte sur le lit,me mets à genoux,le torse penché sur sa couverture et je l'attends.Pas longtemps,il est déjà sur moi,me prend les hanches et me pénètre direct,à fond,enfonçant toute sa bite,d'un coup.Il ne me baise pas,il m'assaille.Il me culbute comme un taureau.Sa bite n'est pas très longue mais grosse et je me sens écartelé par son pilon,planté dans mon cul comme un piston dans sa chemise.Il est fougeux,préssé,déchainé.J'ai mal au cul de tant d'empressement et pourtant je sens le plaisir me gagner.Je lui échappe un instant et me retourne face à lui.Il me reprends ,en me soulevant les fesses et"rhan",il m'encule ànouveau,complètement hors de lui,s'acharnant sur mon cul,me prenant les couilles d'une main et formant un anneau de ses doigts,il les remonte le long de ma bite pour ensuite me branler à me déchirer le frein du prépuce.Je n'en peux plus,je lui décharge sur le torse,éperdue de plaisir.Mes rales,mes gémissements le rendent fou et m'agrippant les hanches en serrant comme un damné,il emmène mon corps sur son zob,de plus en plus vite,de plus en plus fort.Son zob enfle encore,et il explose littéralement en moi,se retire,prends sa bite à pleine mains et  m'asperge de son sperme du nombril à la bouche,dans un cri ahurissant de bête en rut.On retombe dans un état semi-comateux après cet assaut primitif et brutal.J'ai le cul en feu.Il souffle comme une locomotive.Mais j'en ai pas assez.Je remonte ma tète vers sa bite,y crache de la salive en abondance,l'éssuie avec un pan du drap et je
le pompe à l'en avaler.Elle est encore grosse mais flasque.La folie me reprend et je le masturbe autant que je le suce,me délectant de son gland,sans calot;je l'aspire,je le grignotte,je le presse sur mon palais,j'en fais tant et plus qu'il rebande.Maintenant,il est dur et je m'acharne.C'est moi,la Bète.Je le branle fort,il se tord,il jure,il veut se dépêtrer mais je le repousse sur sa couche en lui maintenant le torse avec mon bras tendu..Je le laisse un peu et remonte ma bouche vers ses tétons.Je les mordille aussi,les tirant vers l'intèrieur de ma bouche comme si je voulais les manger,les avaler.Je continue,malgré tout ,à le branler et son souffle devient feulement.Je replonge son zob,prét à éclater dans ma bouche et il m'inonde d'une deuxième giclée,phénoménale,que je bois en lui léchant le gland,comme une chèvre une pierre à sel.Il jute;coule ,s'épanche à n'en plus finir.Je le lâche et,sans qu'il s'en doute,je lui prends la bouche,en lui
transmettant une bonne goulée de son sperme.Surpris et complètement écoeuré,il  avale presque tout sans pouvoir s'en empécher.Le temps qu'il reprenne ses esprits,j'ai pris mes cliques et mes claques.Ramassant mes affaires éparpillées,je m'enfuis comme un voleur,vers ma voiture que je démarre pour partir en trombe dans la nuit.Au passage,je le vois,nu avec son tee-shirt,incrédule et dépité,me regardant sans comprendre,m'éloigner à jamais
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