B.A.H.

acceuil   section soft    section xx     forum gay arabe   annonces diverses      annonces rencontres    livre d or   contact @

 

LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA

Fantasmes ou réalité ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons

AVERTISSEMENT

Ces histoires que vous allez lire décrivent des relations sexuelles entre adultes consentants, et surtout de même sexe! Si la législation ou les règles morales auxquelles vous obéissez vous interdisent de lire de telles choses, retournez en arrière, il y a plein d'autres choses à voir sur le Net. Si vous êtes curieux, allez-y, régalez-y et découvrez (peut-être) d'autres façons de profiter de la vie. Merci chers amis pour les histoires que vous nous envoyez et qui ravissent les visiteurs du site

 

Fred et Dan

Bonjour,
 
Auteur érotique, je participais jusqu'à il y a quelques semaines, à l'édition d'une archive gay, qui hélas vient de fermer son site...
 
Si celà peut vous interresser, je possède quelques textes dont voici un exemple.
 
D'emblée, pour ce texte vous avez mon autorisation de mise en ligne, (une seule petite demande), que mon pseudo d'auteur figure en tête ou en bas du texte.
 
Pseudo : DomFun
 
 
A Trés bientôt j'espère, et encore bravo pour votre site qui bouscule toute les intolèrances...
 
Dominique DRUART
 
(le texte est collé ci après ou en pièce jointe.) bonne reception.
 
---------------------------------
 
 

-Partie 1-

 

 

 

 

 

 

 

Le début de l’histoire que je vais vous raconter peut paraître banal, mais je suis sur que peu de monde a connu l’aventure que Fred et moi avons vécu...

 

A  cette époque, nous  avions tous deux 16 ans, nous étions amis depuis l’enfance. Et au cours de nos jeunes années, il est arrivé à maintes reprise que l'un ou l'autre d'entre nous aille passer la nuit chez son copain. Nos deux familles se connaissant bien.

 

À notre puberté, nous sommes devenus bien entendu très intéressé au sexe,

comme je crois, tous les autres gars de notre âge. Alors, la plupart du temps, nous étions ensemble, à regarder des magazines, visionner des films, et parler de masturbation.

De celà, nous ne nous cachions pas. L'un comme l'autre nous parlions à l'autre

de nos découverte, des petits plus de nos caresses solitaires.....

 

Un jour, les parents de Fred qui devaient s’absenter, autorisèrent mon ami à rester seul à la maison pour le  week-end. Cela ne s’était jamais produit, à chaque absence des parents,  Olivier  l’aîné de Fred, avait été chargé de chaperonner son cadet. Pour cette première, Fred me demanda de passer le week-end en sa compagnie, ce qui je crois, rassura un peu ses parents.

 

L’après midi, tout à fait par hasard, tandis qu’il cherchait un bouquin, Fred  mis la main sur un film sans étiquette, caché au fond d'un meuble dans la chambre qu’il partageait avec son frère...

Poussé par la curiosité, mon ami lança le film dans le lecteur, et immédiatement les images défilèrent sur l'écran... Un film Gay... Aucun mot ne fut prononcé, Fred et moi, pour la première fois de notre vie, avions devant les yeux le spectacle de mecs entièrement nu, et pratiquant ensemble cet acte que nous avions souvent imaginé, mais que jamais nous n'avions osé aborder...

Revenu de ma surprise, j'interrogeais Fred...

"- Dis fredo, il est homo ton frangin ?

"- Mais non, je suis sur que non, enfin je suis presque sur..."

 

Sa réponse nous fait sourire, mais une tension extrême s'est posée dans la pièce. Si nous n'avions aucun secret l'un pour l'autre. Si régulièrement les sujets du sexe revenait dans nos discussions. Si nos expériences solitaire devenait notre secret commun, jamais nous n'avions franchis le pas de la simple masturbation ensemble...

 

Ce soir cependant, le film qui se déroulait sous nos yeux, nous embrasait le bas ventre, et les coups d’œil que je lançais vers le jeans de Fred m'informait que comme moi, les images ne le laissait pas sans réaction.

 

Au bout d'un moment, n'y tenant plus, ma main s'est posé sur le haut de ma cuisse. Ma queue avait commencé à se déployer, sans que je sache ce qui me faisait le plus d'effet : Le film, ou le fait de savoir Fred, à deux pas de moi, et dans le même état que moi ?

Comme une réponse à ma question, Fred lui aussi posa la paume de sa main sur son entrejambe, comme la chose m’amusait, je tournais la tête vers lui et demandais :

 

"- Au point ou on en est tous les deux, si on se mettait en caleçon, on serait plus à l'aise..."

Dans un premier temps, Fred refusa. J'insistais, mais j'avais pour cela une bonne raison : Fred était en jeans, un vêtement qui lui permettait grâce à sa rigidité de cacher au mieux l’excitation qui l'irradiait ; Moi au contraire, je portais un survêtement de Nylon qui ne cachait en rien  ma pulsion...

 

Après un moment, Fred accepte enfin de quitter son jeans. Moi je retire mon survêtement, et nous voilà tous deux avec seulement nos caleçon et boxer installé cote à cote devant le film.

Après un court instant, la main de Fred s'est posé à nouveau sur son entre jambe. La situation me remet le feu au ventre, et je n'arrive plus à cacher la double vie qui anime mon sexe. Devant quelque chose de plus en plus difficile à gérer, je passe ma main à l'intérieur de mon boxer, et enserre mon dard... Evidemment Fred s'est aperçu de mon geste :

"- C'est le film qui te fais çà ?

"- Oui, le film, c'est la première fois que je vois un film homo

"- Dan, on est tous deux bandé très fort, c'est normal ?

"- Oui bien sur, on est deux pote, on regarde un film, et tu vois si j'étais seul, je serai déjà allé beaucoup plus loin..."

"- Bref, tu te caresserais ?

"- Pas toi ?

"- Si, bien sur..."

En nous parlant, nous avions tous deux les yeux rivés sur le caleçon de l'autre, l'un comme l'autre, nous n'avions plus rien de présentable...

"- Dis moi Fred, Tu t'es déjà masturbé avec un autre mec ?

"- Non, jamais encore et toi ?

"- Jamais encore non plus, mais j'ai déjà vu mon frère Olivier se branler...

"- Olivier ?

"- Oui, Il y a deux semaines, il était dans la salle de bain... La porte de notre chambre était entrouverte, il ne savait pas que j'y étais revenu. Il sortait de sa douche, et j'ai vu qu'il était tout bandé... J'avais bien sur déjà vu mon frère nu, mais jamais dans cet état ; je suis donc resté derrière la porte à l'observer, quand j'ai vu qu'il empoignait sa verge et qu'il commençait à se branler... Je suppose qu'il avait déjà commencé dans la douche, car très vite il a lâché de très long jets de foutre... Voilà, après j'ai quitté la chambre avant qu'il ne me découvre..."

 

Pendant son récit, à son tour il a glissé sa main dans son caleçon, je vois cette main passer au dessus de sa verge, et l’enserrer...

"- Tu as envie de te branler toi ?

"- Ca se voit non..."

 

Nous rions de bon coeur, et doucement, je vois la main de fred commencer un mouvement lent sur sa hampe ; Je ne suis pas en reste, mais mon boxer me gène terriblement... Je n'hésite qu'une demi seconde avant de baisser un peu mon sous-vêtement. Fred, qui a les yeux rivés sur moi, à lui, ouvert les premiers boutons de son caleçon. J'ai maintenant sous les yeux la base de sa verge qu'il caresse sans aucune gêne...

"- Tu sais, lui dis-je, au point ou on en est, si on se mettait nu, on pourrait être à notre aise..."

Sans aucune réponse, Fred a soulevé ses fesses, et a fait glissé le caleçon le long de ses cuisses...

Je fais de même, les yeux rivés sur le sexe de mon ami ; J'ai déjà vu Frédéric en  petite tenue, mais jamais nu. Quand je dormais chez lui, ou lui à la maison, le matin au réveil, j'avais bien sur remarqué la bosse qui déformait son vêtement. Mais aujourd’hui, il était là, nu prés de moi, la verge tendue au maximum.

Je soupçonnais fortement fred d'avoir la même pensée que moi, car ses yeux étaient collés à mon bas ventre...

Sa verge était presque de même taille que la mienne, un peu moins épaisse peut-être... Sans autre mots, Fred et moi nous sommes ce soir là mené à jouir ; il fut le premier à craché son venin, des jets puissants, abondants. Un spectacle qui eut pour effet,  de moi aussi me vider de ma semence...

 

Après avoir joui, Fred retira la cassette du lecteur vidéo, et la remis là ou nous l’avions découverte ;

Sans reparler de ce qui venait de se passer, nous sommes passé l’un après l’autre dans la salle de bain. Quand à mon tour je me retrouvais sous la douche, je repensais au récit de Fred concernant Olivier son frère ; je m’imaginais Olivier, grand et fort gaillard de 19 ans en pleine action dans cette petite cabine...

Rien que cette pensée me redonna quelques formes, aussi je m’efforçais de penser à autre chose, je me voyais mal revenir dans la chambre le boxer à nouveau en déroute et expliquer à Fred que je rêvais de son frère...

 

A mon retour dans la chambre, Fred était déjà au lit... Il possédait un grand lit que nous avions déjà maintes fois partagé ;  Je pensais en m’approchant, que bien des fois dans ce lit j’avais eu la bitte bandée en voyant auprès de moi mon ami endormi ; Combien de foi avais je du m’éclipser au toilette en rêvant de lui baisser le slip qui renfermait les trésors que je désespérais de connaître...

 

Comme s’il pouvait lire mes pensées, Fred m’ouvrit le drap et me dit :

«- Allez Dan, la branlette c’est fini, vite, au lit... »

Je dus certainement rougir, car il éclata de rire, et continua...

« - Au moins maintenant, plutôt que se raconter notre plaisir, on le mettra en pratique... »

 

Au moment ou j’entrai dans le lit, je m’aperçus que le caleçon de Fred était sur une chaise...

« - Fred, tu dors nu ?

« - Toujours pratiquement, je ne gardais mon slip que quand tu étais là, mais aujourd’hui cela n’a plus vraiment d’importance, mais toi tu le garde ?

« - bof, non, autant être libre tous les deux... »

Joignant le geste à la parole, je retire mon vêtement sous l’œil de Fred et me couche enfin...

 

Fred a baissé la lumière sans l’éteindre, et nous sommes maintenant face à face...

Nous ne prononçons pas un mot, mais tous les deux nous savons à quoi pense l’autre, aussi, doucement, je pose la main sur l’épaule de mon ami qui n’a aucune réaction... je m’enhardis, et laisse glisser ma main sur sa poitrine... Fred se glisse alors sur le dos dans un abandon total...

 

Je ne veux rien perdre de cet instant, mon bras glisse jusqu’à la lampe de chevet, je réajuste la lumière, et glisse le drap qui nous recouvre au pied de notre lit... Je ne m’étais pas trompé : Fred est dressé dans toute sa splendeur.

Ma main repart sur son épaule, glisse sur l’un de ses seins et fait le tour de son nombril...

Frédéric a fermé les yeux, sa respiration s’est accélérée, sa verge tendue à son maximum tressaute au rythme de son cœur.

Ma caresse arrive enfin prés de l’objet que je ne connaissais pas seulement deux heures avant... Quand mes doigts se resserrent sur sa verge, Fred à un sursaut, il ouvre les yeux, et me sourit...

« - Si tu savais comme j’ai rêvé que tu me caresses un jour. Quand je me branlais, j’essayais de m’imaginer que c ’était ta main qui me prenait, et maintenant, tu es là, vraiment là... »

Alors je me colle au corps de Fred, j’entame sur sa verge un lent mouvement de va et vient. Lui de son côté a également empoigné mon engin... Deuxième masturbation de la soirée... Nous ne voulons pas aller trop vite, trop loin ; aussi quand après avoir capitulé à la manipulation de Fred et m’être vidée, quand lui aussi a haleté et s’est vidé de ses dernières réserves, nous avons convenu d’être sage.

Nous savions que nous avions encore beaucoup à découvrir, mais ce soir les émotions eurent raison de nous, et c’est dans les bras l’un de l’autre que nous nous endormions...

 


-Partie 2-

 

 

 

 

 

 

Je me réveillais le premier le lendemain matin ; un de ces réveils brutaux, sans raison apparente, et pourtant à la seconde notre instinct nous dit que quelque chose n’est pas naturel... J’étais toujours aussi nu, et Fred avait toujours les bras autour de mon torse. Le jour commençait à peine à se lever, et soudain je compris.... Olivier, le frère de Fred était rentré pendant la nuit, il était là, allongé sur le divan... Je remontais précipitamment le drap sur notre nudité à Fred et moi, et doucement j’essayais de réveiller mon ami...

 

Hélas celui-ci avait le réveil difficile, cela je le savais, il grogna, se retourna bruyamment, ce qui eut pour effet d’avertir Olivier de notre réveil... Quand je me retournais, il était là, prêt de notre lit, un large sourire aux lèvres...

« - Fais moi une place petit Dan, je crois que vous avez beaucoup de chose à m’apprendre... »

 

Je n’en croyais pas mes yeux, Olivier fit passer son tee-shirt par dessus sa tête, et s’attaqua à la ceinture de son jeans qu’il retira... J’aurai donné n’importe quoi pour être à des kilomètres, mais j’étais pris au piège dans cette chambre, avec d’un côté Fred qui continuait à dormir, loin dans ses songes d’imaginer la situation ; et de l’autre côté, Olivier, son frère qui venait de nous rejoindre dans le lit...

« -Alors, petit dan, dit-il doucement, on aime mon frangin ?

« -Ecoute Olivier, c’est pas çà...

« -C’est pas çà ? je rentre à trois heure du mat, je vous trouve tous les deux au lit et à poil, en plus dans les bras l’un de l’autre, et tu me dis c’est pas ça ? »

 

Comment aurait-il pu penser autre choses ?

 

« - C’est vrai olivier,  OK on est à poil, mais on a rien fait... Enfin rien presque.... »

 

Devant ma mine de gamin en faute, olivier à un large sourire et continue...

« - et c’est quoi le « presque » ?»

 

« - Rien, des caresses c’est tout.... »

« - C’est tout ? Alors heureusement que je suis rentré, je crois que vous n’allez pas le regretter tous les deux...  Ne bouge pas... »

 

L’ordre est tombé sec.

 

Comme je faisais mine de vouloir bouger, Olivier a rejeté le drap qui nous recouvrait. Il m’enserre le torse de ses cuisses puissantes, et me fit le plus dur des chantages...

« - Je crois que l’on va s’amuser un peu Daniel... Mais si tu préfères,  je suis certain que notre père à Fred et à moi serait surpris d’apprendre le tableau que j’ai trouvé ce matin... Mais, tiens, regarde, on dirait que mon frangin fait un rêve cochon... »

 

Et c’était vrai... Fred était endormi sur le côté, et nous avions pleine vue sur sa verge à demi érigée...

Sans quitter sa position, Olivier a laissé glissé sa main vers mon bas ventre, il empoigne ma bitte qui n’est pas resté sans réagir...

 

« - Tiens, Mais tu es tout raide petit Dan... Remarque, je te comprends, il est plutôt bien monté le Fredo... »

En prononçant ces mots, Olivier a commencé sur ma tige un lent mouvement de vas et vient...

Je ne sais comment décrire ce moment.

Tout était fou.

 

J’aurai du mourir de peur, et au contraire, j’étais complètement abandonné, la queue tendue et branlée par le frère de Frédéric.

 

Nous étions Fred et moi dans un bien méchant bateau, et il nous fallait affronter la tempête...

 

Puis je repensais au film visionné la veille, ce film gay trouvé justement dans l’armoire d’Olivier...

 

Etait il possible que ce grand gaillard que j’avais toujours côtoyé, que je n’avais jamais soupçonné du moindre petit écart fut gay ?

En tous cas, les événements du moment penchaient pour mon hypothèse....

J’en était là de mes réflexions quand Olivier me dit :

 

« - Daniel, on va jouer un peu tous les trois, et tu vas faire plaisir à ton ami, tu vas le réveiller de la façon la plus agréable qu’il soit... »

 

J’étais terrorisé, je savais d’avance que je n’oserai rien lui refuser.

 

Olivier a desserré l’étau de ses cuisses, et s’est glissé le long du corps de son frère, de façon à ce que maintenant Fred soit allongé entre nous... Olivier commence alors doucement une lente masturbation sur la verge de Frédéric... Comme la veille, Fred semble s’abandonner totalement et glisse à plat dos....

 

 Son frère sourit de cet abandon, et ne manque pas de le relever...

 

« - Tu vois Dan, Il aime çà.... Allez, remplace moi... Doucement, fais le cracher ton copain... »

 

Complètement interdit ; comme un automate,  je prends donc en main la bitte tendue de Frédéric et continue le mouvement commencé par notre aîné... Le résultat est que Fred commence à respirer un peu plus rapidement, et que le compas de ses jambes s’étire de plus en plus...

Olivier change alors à nouveau de position et s’installe entre les jambes de son frère.... Après un moment à observer mon travail sur la bitte de Fred, Olivier a planté son regard dans mes yeux et sans un mot a commencé à baisser la tête sur le sexe de son frère...

Doucement sa langue est venue caresser le gland, une première caresse que je n’oublierai pas de si tôt. Comme sur une boule de glace, la langue d’Olivier s’est mise a tourner autour de la pomme d’amour.  Puis la bouche s’est ouverte, et le gland de mon ami a été comme aspiré... Je ne pus rester sans réaction, et j’empoignais ma verge qui tendue à m’en faire mal, exigeait une caresse...

Il arriva alors ce qui devait arriver, soumis à une telle dose d’amour, le sexe dur comme à ses meilleurs moments, Frédéric devint de plus en plus agité, et à un moment ouvrit un oeil....

 

Avant même que Frédéric ne put  réagir à ce qui lui arrivait, Olivier bondit sur son jeune frère, lui enserrant le torse et lui empêchant ainsi tout mouvements...

 

« - Bonjour petit frère... Surpris non ? Remarque,  moi aussi cette nuit j’ai eu ma dose.... »

 

Mon pauvre Frédéric ; il n’arrivait pas à se sortir du sommeil, et son regard terrorisé allait de son frère à moi essayant vainement de réaliser ce qui lui arrivait...

« - Allez quoi Fred, C’est pas si grave, tu couches avec ton pote, puis c’est tout... Seulement, il parait que vous n’en seriez qu’à la branlette... Alors ton grand frère a  décidé de te faire connaître à toi et au petit Dan que même entre mecs, il y a plein de possibilité... »

 

Ce qui arriva la seconde suivante, n’a pas de mot pour être décrit.... Ce que je peux vous en dire, c’est que Olivier lui même n’est pas prêt d’oublier la fâcheuse posture qui fut la sienne quand Frédéric se rebiffa...

 

Car Fred nous surpris, quand d’un énorme coup de rein il désarçonna son frère...

Loin de s’attendre à une telle réaction, Olivier mis une demi seconde de trop à réagir... Maintenant c’était lui qui était sur le dos ; Lui qui avait le torse enserré par les cuisses de Frédéric... Il essaya bien de rétablir sa situation, mais Frédéric avait décidé de ne rien laissé passer...

 

« - Dan, Vite aide moi... »

 

Aussitôt, trop heureux de notre revanche, je m’agrippais aux jambes d’olivier, et le bloquais sur le lit...

 

Fred était trop heureux de sa victoire...

Il était maintenant assis sur le torse de son frère, ayant totalement retourné la situation qui ne manquait pas de piquant... Totalement nu, assis sur le torse de son aîné, Frédéric pavoisait...

 

« - Alors, tu disais quoi frérot ? Que nous couchions Dan et moi ? Oui et alors ? Oui nous couchons, même que nous commençons juste... C’est pas comme toi... »

 

Olivier s’était calmé, comme résigné, j’avais quitté ses jambes, et après les derniers mots de Fred, je regardais mon ami les yeux ronds...

 

« - Eh oui Dan, Mon grand frère veut nous faire la leçon, mais je crois qu’il devrait commencer par nous parler des films que l’on trouve dans son armoire... »

 

Houha, je suis sur que s’il l’avait pu, Olivier se serait fait tout petit... Il était devenu tout rouge, et ne savait comment se sortir de la situation qu’il avait été seul a créer...

« - Allez Fred, tu sais bien que je rigole, je pousse souvent trop loin mais tu me connais...

« - Ho oui, je te connais, mais je veux une petite revanche ce matin...

« - Quoi que veux tu dire ?

« - Tu m’as réveillé Grand frère... De façon très gentille d’ailleurs, et tu vois, regarde ma queue, elle n’est pas vraiment satisfaite... »

 

Pour ma part, je vivais quelque chose d’irréel, jamais je n’avais osé imaginé Fred comme il se montrait dans l’instant présent... Je dois bien l’avouer, j’étais fier de lui... Oser tenir tête à son aîné, alors que tout était contre lui, oui, Fred me surprenait vraiment... et il en rajoutait...

 

« - Alors frangin, ou en étais tu quand tu m’as réveillé, tu me suçais je crois ? Alors tu vas reprendre ce que tu as laissé, là ou tu l’as laissé...

« - Eh, n’exagère pas Fred...

« - Quoi ? Tu me suces quand je dors, et tu veux plus quand je te vois ? Tu vois, si tu t’appliques, je te promets de te rendre la pareille... honnête non ?

« - Hein ?

« - Oui grand frère, si tu es un bon prof, puisque tu veux tout nous apprendre, pour te dire merci, on te sucera aussi... Pas vrai Dan ? »

 

Gasp... Je me sentais pourtant bien depuis un petit moment... j’étais l’unique observateur d’un grand moment entre frère, et voilà qu’on me jetait au bain...

 

« - Alors Dan, tu vas pas avoir peur de sa petite queue ? »

 

Je décidai de jouer comme Fred, et après avoir aspiré une grande bouffée d’air je répliquais...

 

« - Tu as raison fredo... Et de toute manière, pourquoi il a pas quitté son caleçon lui ? »

 

En effet, même si j’avais pu voir la bosse du caleçon d ’Olivier grossir et s’amoindrir, je flashais sur l’instrument que Fred m’avais dit avoir surpris dans la salle de bain...

 

« -T’as raison Daniel. Allez, enlève lui, que l’on puisse voir sa belle petite bitte...

« - Non, s’il vous plaît... Pardon, mais laissez moi... »

Pardon, le grand Olivier venait de nous demander pardon... Je regardais Frédéric, mais lui n’était nullement décidé à passer sur ce que son frère venait de lui faire vivre...

« - Pas question olivier, tu m’as toujours eu, tu t’es toujours servi de moi... Alors aujourd’hui je veux te voir pris à ton piège... Dan, tu le connais comme moi... Allez, retire lui son caleçon... »

 

Je savais que Fred avait raison, si nous passions aujourd’hui, Olivier se porterai en vainqueur, et il en profiterai sûrement en faisant peser sur Fred son lourd secret... Aussi, à mon tour, je m’habillais du sourire carnassier qui était celui d’olivier quelques temps plus tôt, et pris son caleçon à la ceinture...

Crânement, je m’amusais à descendre millimètre par millimètre la pièce de tissus... A nouveau Olivier s’empourpra... Frédéric se retourna pour admirer l’engin de son frère, et ensemble nous découvrons un ensemble trois pièce que dame nature et sa grande générosité, n’avait pas oublié lors de la distribution.... Mais notre surprise est toute autre quand nous découvrons un Olivier totalement rasé... Pas un poil autour du sexe, pas le plus petit duvet sur les couilles...

 

Fred se retourne vers son frère ;

 

« - Ben... Pour une surprise, t’as gagné frangin...

« - Oui, je sais...

« - Quoi ? Non, au contraire, elle est chouette ta chose... On dirait un bébé... Par rapport à l’autre jour...

« Hein, quel autre jour...? »

Fred avait parlé trop vite. Il me sourit, et dut avouer à son aîné l’épisode qu’il avait surpris dans la salle de bain... Avant qu’Olivier ne puisse réagir, Frédéric plongea la main entre les jambes de son frère, et enserrant la verge, commença doucement un mouvement de masturbation...

« - Non, Frédéric, fais pas ça, non Fred...

« - Si Olivier, je veux la voire bandé la toute belle, et même, je veux la voire cracher... Mais, toi, regarde plutôt la mienne, tu vois, là tu peux dire que tu lui fais de l’effet... Et regarde Dan, je crois qu’il ne va pas falloir l’oublier... » 

 

Je l’ai déjà dit,  la situation avait du piquant... Le tableau que j’avais devant moi était le suivant : Frédéric entièrement nu, la bitte hyper tendue, assis sur le torse de son frère, en train de lui administrer une masturbation maison... Et bien, il me faut bien l’avouer, cela moi, ne me laissait pas de bois...

 

«- Tiens, Dan, me dit Frédéric, Continue donc de caresser mon gentil frérot le temps qu’il finisse de me sucer... »

Olivier me regardait les yeux exorbités...  Je ne pus m’empêcher d’avoir une petite pensée pour lui, pensée qui changea une fois de plus toute la situation...

 

« - Attend Fred, tu crois pas qu’il en a eu assez ? Après tout, En revenant cette nuit, essaie d’imaginer sa surprise...

« - Ha ça tu peux le dire... »

Olivier avait saisi la balle au bond, il regardait son frère, et lui sourit...

« -Frérot, tu es quand même un peu lourd pour mon estomac. Alors si tu quittes mon ventre, Toi et le petit Dan, vous vous souviendrez longtemps de la pipe que je vais vous servir... »

Frédéric me regardait, j’eus un haussement d’épaule, et avant de quitter sa position, Fred mit les choses au point...

« - OK, Si je te lâche, tu nous suces... Tous les deux...

« - Tous les deux.... 

« -OK frangin, je te lâche, mais tu sais maintenant qu’avec le petit Dan, on aura le dessus si tu tiens pas parole...

« - Pas parole ?  tu rigoles... Deux pines de puceaux pour moi, et tu voudrai que je rigole.... »

Il était à peine libre et déjà il recommençait à nous narguer...

« - Mais non, venez là les mômes... »

 

Un peu sur la défensive, Fred et moi nous en remettions aux directives d’Olivier, et je dois dire que pour ma part, je ne regrette pas les minutes qui ont suivi... D’ailleurs, je crois bien qu’aucun de nous trois n’est prêt à oublier ce jour là...

 

Olivier nous a installé cote à cote, et s’est mis à genoux entre nous... Il avait retrouvé son large sourire. Il s’empara d’abord du sexe de son frère, et commença une savante caresse sur le gland de Fred... Il ne fallut pas longtemps à mon ami pour retrouver une taille victorieuse... Quand Olivier à mon tour me saisit, je ne pus réprimer un frisson ; Les souvenirs des moments précédents encore trop présent à l’esprit, je m’attendais à chaque instant qu’Olivier se joue de nous, et profite de sa situation, mais non, au contraire, il n’était pas difficile de voire et de comprendre que le frère de Fred profitait à fond du moment.

Il commença par me dégager le gland de son prépuce, car contrairement à Fred et Olivier, je ne suis pas circoncis... il commence alors d’une main la même séance qu’il inflige toujours à son frère... Je ne suis pas long non plus à prendre du volume, et quand Olivier nous sent prêt et savamment dressé, il commence à nous titiller de sa langue... Une langue, une pointe de langue sur mon gland... Quel délice, que cette décharge électrique dans mon bas ventre... Mon sursaut fait rire mes deux compagnons.

Olivier a embouché la totalité de ma verge, et commence maintenant sur mon membre une succion que je ne voudrai jamais voir se terminer... Frédéric à les yeux tournés vers moi, et s’est paré de son plus beau sourire ; Il me passe un bras autour du coup, sa bouche s’approche de la mienne... Instinctivement, ma bouche s’entrouvre, et nos langues se lient... C’est là aussi, mon premier baiser avec un mec...

J’espère un jour retrouver cette sensation d’eau de mer que j’ai connu, quand la salive de Frédéric s’est répandue dans ma bouche... Quel délice ce matin là...

 

Quand Olivier s’aperçoit que nous avons déjà poursuivi notre connaissance l’un de l’autre, il relâche un peu son action et se plaint...

« - Eh les jeunes, faudrait voire à pas m’oublier...

« - Continue Olivier, lui répondit Fred, sinon gare à tes fesses...

« -hein ???? »

Le cris d’Olivier nous fait éclater de rire, quelques secondes plus tard c’est nous qui éclations d’une jouissance que j‘ai rarement retrouvé depuis...

Choses promises, puisqu’il nous avait initié, nous avons rendu la pareille au frère de Frédéric... Sa tige érigée mesurait au moins 20 cm, nous jouions Fred et moi à le lécher de nos deux langues de chaque coté de sa hampe.... Je peux vous assurer que soumis à un tel traitement, il ne fut pas long à lâcher sa sève en de longs jets blanchâtres et crémeux....

 

Après les émotions de ce début de matinée, Olivier, Fred et moi nous allongions à nouveau cote à cote...

Avant de fermer les yeux pour quelques heures, j’ai quand même tenu à me rassurer quelque peu....

« -Dis moi Frédéric, ta sœur, tu es sur qu’elle ne va rentrer plus tôt que prévu... »

Mes deux amis éclatèrent de rire avant de s’endormir...

Vous vous doutez bien que ce dimanche là Fred et moi avons appris beaucoup, et que les jours qui ont suivi, ont été prétexte à bien des rencontres de notre duo devenu trio....

 

Je vous raconterai prochainement d’autres aventures d’avec mes deux amis...

A très bientôt

RETOUR A LA LISTE DES HISTOIRES XXX

retour à l'acceuil de la section adultes xxx

Fantasmes ou realite ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons