Histoire gawri 13 |
Je sors le
dernier de la classe. Quand j'arrive à la porte de la cour, quelques grands
des classes terminales m'empêchent de sortir.
Quand
je suis nu, ils me font agenouiller. Ils font cercle autour de moi. Celui
qui est en face, me dit de lui sortir le sexe. Comme j'hésite, je reçois une
légère baffe. Il y en a de toutes sortes, des déjà décalottées, d'autres circoncise, certains dont le prépuce recouvre encore le gland. Tous restent pratiquement dans les mêmes proportions; un seul est très court mais très épais; un est très difficile à sortir car particulièrement long et mince, mais dur comme l'acier. Quand toutes les verges sont à l'air, ils se masturbent plus rapidement. Les
tiges me paraissent énormes comparées à la mienne ou à celles de mes
copains. Les bouts rougeoyants apparaissent à chaque mouvement de poignet.
Tout cela me fait quand même un certain effet. Mon sexe prend un peu
d'ampleur. J'ai les larmes qui me viennent aux yeux, plus de rage que pour aucune autre raison. Je râle de m'être exécuté si facilement et surtout de ne pas avoir su en retirer du plaisir. Mon érection a complètement disparu. La porte du fond s'ouvre et le concierge qui est aussi l'homme à tout faire du collège entre. Il me parle doucement et gentiment. Il s'approche de moi, me relève et essaye de me consoler. Ses mains parcourent mon visage en de tendres caresses. Il essuie les larmes qui coulent sur mes joues. Après un petit temps quand je suis calmé, il me prend par les bras et s'agenouille devant moi. Sa langue commence à me parcourir et gobe les gouttes de sperme qui sont sur moi. Un peu étonné, je me laisse faire, n'osant pas réagir. De toute façon je n'en ai pas envie. Je suis curieux de voir ce qui va se passer. Ce n'est pas désagréable. Mon zizit grossi légèrement. Il me fait tourner et me lèche partout pendant que ses mains parcourent tout mon corps: mes fesses, mes jambes, mon sexe. Le concierge termine en léchant celui-ci. Il est déjà en demi-érection et atteint vite son ampleur maximum. Il me prend alors dans la bouche et effectue un mouvement de va-et-vient en me tenant les fesses. Je ne résiste pas longtemps et je jouis. Il me garde dans la bouche jusqu'à ce que je ramollisse et redevienne minuscule. Il
prend alors une éponge mouillée dans un sac plastique qu'il a apporté et me
lave le corps. Quand il a terminé, il m'essuie. En finale, il s'attarde sur
mon sexe qui reprend vite du volume. Il me prend alors en bouche. Cette fois il me suce; mon engin bien serré entre les lèvres. Je sens sa langue qui tourne autour de l'extrémité. C'est divin. Une grosse bosse apparaît sur l'avant de son pantalon. Il sort un sexe turgescent, énorme, parcouru de grosses veines, surmonté d'un gland violacé. Mon bassin commence à osciller. Mes mouvements sont de plus en plus rapides. Je lui prends la tête à deux mains et la colle plus fort contre moi pour entrer plus loin en lui. Ses mains parcourent tout mon corps en de savantes caresses. Il s'attarde spécialement avec l'une sur les bouts de mes seins, l'autre sur mes fesses. Le plaisir rayonne dans tout mon bas ventre. La
jouissance monte à travers mes boules et le long de mon cylindre, pour en
atteindre l'extrémité en même temps qu'un liquide, qui jaillit par saccades
dans la bouche qui ne m'a pas lâché. Son propre vit crache son sperme en
jets puissants sans qu'il le touche. Il se rajuste. Il quitte par où il était entré. Je pensais me plaindre au surveillant de la conduite de mes aînés, mais je ne vais rien dire. Je souhaite être encore l'objet de leur sollicitude.
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