Nous avons
tous rêver de notre pote de l'armée.
J'étais un jeune appelé dans l'armée de l'air. Nous étions tous alignés pour
la revue, et au fond de moi, je me prenais à rêver de tous ces beaux
garçons, en me disant dans ce régiment il doit bien avoir quelques bons
coups. Mais à l'appel me voici ramener à la réalité. Garde à vous ! Marche !
Ordres et contres-ordre se succèdent.
Nous voici sur la place d'armes. Il fait chaud. C'est l'été celui de mes
vingt ans. Encore de l'attente. Une attente que je mets à profit pour mater
les beaux garçons. Quand mon regard tombe sur celui d'un minet brun, qui me
semblait presque angélique, rien que de le mater, je commençais à avoir la
trique. Et notre treillis vert, n'est pas fait pour arranger les choses !
L'ordre est donné de rompre les rangs, et me voici m'approchant de ce bel
éphèbe. Je l'aborde. Il s'appelle Denis. Il habite dans le Nord. Nous
échangeons des banalités, et de banalités en banalités, nous trouvons des
points communs, ce qui fait que nous nous retrouvons souvent ensemble. Puis
de plus en plus, devenant inséparables.
Bien que n'étant pas dans la même chambré, nous partagions l'intimité des
douches de la piscine. Au début sans trop nous mater, puis de plus en plus
proche. Toutefois je n'ose espérer aller plus loin. Pourtant à l'approche
d'une perme je le convaincs, non sans arrières-pensée, de venir la passer
dans ma famille histoire de consolider notre amitié. Ce qu'il accepte avec
plaisir. Nous voici donc en perme, chez moi, je lui fais découvrir ma ville
(Montpellier), lui vantant les mérites de la place de la Comédie, les bords
de mer, etc...
Le soir venu, nous nous retrouvâmes seuls. Mes parents s'étant absenter ce
week-end là, la fraternité d'armes nous ayant rapproché, nous sommes tout à
fait a l'aise. Après avoir mangé une pizza et bu de la bière, je lui dis que
je materais bien un film X. Lui aussi, et nous voilà entrain de nous faire
monter la vapeur devant de belles créatures. Mon survêtement fait apparaître
une belle bosse, que je ne peux cacher. Je n'ai aucune gène, car je me dis
que pour Denis cela doit être la même chose ! L'excitation aidant, je
commence à me mettre la main dans le pantalon, je sens mon sexe dur, chaud
légèrement humide par l'excitation de savoir mon ami dans un même état. Je
n'en peux plus. Je me caresse clairement, et regarde Denis. Il me sourit, et
me dit que lui aussi bande comme un taureau.
Effectivement je constate que son jeans dénote une forme plus qu'alléchante.
Par réflexe, je lui caresse le jeans, et sens dans ma main cette force qu'il
a en lui. Je me reprends et là il garde ma main contre son sexe. Je n'en
peux plus. Je fais glisser la fermeture éclair, prends son slip dans ma
main. Je le caresse, puis défaits le bouton, ma main plonge dans son slip,
je sens sa bite, elle est de très bonne taille. Je fais glisser sa peau qui
dévoile son gland. Je n'en peux plus. Je la prends en bouche. Quel bonheur,
je sens ses à coups. Je fais descendre son jeans, j'ôte son sweat, et le
voilà nu devant moi. Je l'embrasse, le caresse, il me baisse le pantalon, et
mon caleçon, et me branle. Je sens que je vais venir, alors il me prend dans
sa bouche. Il me prend tout entier, me malaxe les couilles.
Je vais venir. Je ne peux retenir mes râles de jouissances. J'éjacule de
longs jets chauds, qu'il avale goulûment. Il me nettoie le gland et me
caresse le l'anus. Alors, je le reprends dans ma bouche, le suce à m'en
faire vomir, puis il vient dans ma bouche. C’est la première fois que je
sens cette chaleur en moi, même si le goût est déplaisant. J'avale la sève
de mon ami-amant, afin de garder en moi à tout jamais cette première fois.
Epuiser par le plaisir et par l'émotion d'un tel acte, nous nous endormons
l'un dans l'autre quelques minutes. A notre réveille, une envie de rire nous
prend, puis nous nous remettons à bander. Cette fois la nuit est devant
nous, nous comptons bien en profiter. C'est cette nuit que j'ai dépucelé
Denis, que je me suis laissé aller au plaisir interdit, mais combien
intense...
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