Histoire gawri 28 |
Un lundi
matin de juin, 7 heures. Le radioréveil s’alluma sur une radio branchée. Maxime avait les cheveux courts, bruns, et les yeux noisette. Allongé sur le ventre — car il dormait toujours sur le ventre —, il se mit sur le côté pour éteindre son réveil, puis sur le dos. Il repoussa le drap, de façon à ce que son caleçon ne soit plus recouvert, tira un peu son t-shirt gris. Son nombril était maintenant visible, et en tendant son bras gauche, l’élastique de son caleçon entre le pouce et l’index, il permit à son pénis en érection d’être libre. Saisissant avec sa main droite sa verge, il s’apprêtait à faire le geste habituel — Maxime se masturbait tous les matins, ça l'aidait à affronter la nouvelle journée. Il enfonça sa tête confortablement dans l’oreiller, puis commença à se masturber. Il laissait traîner le plaisir, mais regardant son réveil, il comprit qu'il dut abréger rapidement pour ne pas être en retard à so entrainement de sport. Accélérant donc le mouvement, il s'ensuivit soudain des jets de sperme réguliers et puissants, si bien que le bas de son ventre et son habit furent tachés par quelques grosses gouttes blanchâtres. Il essayait de prolonger le plaisir en accompagnant l'éjaculation avec sa main puis, le visage rouge et paisible, il prit le mouchoir qu'il mettait son l'oreiller et tenta en vitesse de s'essuyer. Il alla ensuite dans la salle de bain, pieds nus, enleva son tee-shirt. Son torse était très bronzé : la semaine précédente il avait joué au handball dehors simplement en short et en baskets, comme la plupart des garçons. Il quitta son caleçon puis se mit sous la douche, en prenant son gel. Il avait découvert récemment qu'il était beaucoup plus agréable de se laver sans gant de toilette, et commença donc à caresser son corps après avoir réglé le jet d'eau. Il insista surtout sur sa poitrine et il se donnait un plaisir certain. L'eau lui fit perdre le reste d'érection qu'il avait, il décalotta alors son pénis pour nettoyer le gland — comme sa mère lui avait appris à faire, il y a longtemps — massa ses bourses, et revint sur son pubis où le gel douche avait du mal à s'enlever de ses petits poils doux, ainsi que sous ses bras. Une fois la douche terminée, il s'essuya le corps, se noua une serviette autour de la taille, se sécha les cheveux, les coiffa, puis alla mettre ses deux vêtements dans la corbeille de linge sale. Il commençait alla ensuite à une salle de sport. Il se dirigea donc dans un vestiaire du gymnase où il salua ses amis. Il appréciait ce moment car c'était la seule fois de la semaine où il pouvait voir ses camarades quasiment nus. Il portait autrefois des slips, mais préférait les caleçon afin que les érections qu'il avait dans les vestiaires ne se voient pas. En fait, son problème d'érections fréquentes devait aussi concerner ses camarades, car aucun n'osait se doucher à la fin des deux heures, les douches étant communes. Il fantasmait particulièrement sur un copain, Marc, qu'il invita à venir dormir chez lui le week-end suivant. Samedi soir, tard, les deux garçons étaient dans la chambre pour dormir comme il était prévu, après une journée de jeux et de tennis de table. Maxime ne garda que son caleçon pour dormir, afin de voir la réaction de son ami avant de se coucher. Marc le regarda attentivement, d'un air un peu envieux, mais n'osa rien dire. Lui, il garda le haut malgré la chaleur de la fin de printemps. L'après-midi suivante, s'ennuyant, Maxime proposa à Marc de disputer une partie d'Échecs. Son ami ne voulut pas car il savait qu'il se faisait battre systématiquement. Insistant, Maxime s'exclama en rigolant : " Si tu gagnes, j'te suce ! ". Bien sûr, la chose avait été prise à la plaisanterie mais les deux garçons se décidèrent alors à jouer… Maxime faisait exprès de perdre car son envie était celle que vous devinez. À la fin de la partie, son ami, particulièrement heureux, lui rappela l'enjeu du pari. Il fit semblant d'hésiter, mais ferma la porte à clé, s'approcha de Marc et lui dit de se lever. Il demanda s'il était sûr qu'il devait respecter le pari, et son ami, souriant, répondit affirmativement avec force. Maxime s'approcha de Marc et s'agenouilla devant lui. Il lui débouta le jean, lentement et avec application, bouton après bouton, sans toucher à la ceinture noire qui était recouverte par le tee-shirt. Agrandissant l'ouverture avec ses deux mains, il baissa rapidement la partie de caleçon puis, d'un coup bref, comme aidé d'un ressort, le pénis à moitié en érection sorti et s'éleva devant lui. Il évita de penser, car il avait peur que sa pudeur lui empêche d'arriver à terminer ce pari auquel il pensait depuis longtemps. Il se disait que personne d'autre ne serait au courant de cet acte, et que chez les jeunes il était normal d'essayer des choses entre mecs. Il ouvrit alors la bouche qu'il approcha sur le gland, puis enfila le pénis à pleine bouche, comme une glace. Son objectif était de faire éjaculer son camarade, il lécha alors le pénis avec vigueur et envie. C'était la première fellation qu'il faisait ce qui expliquait son excitation. Soudain, il sentit un mouvement : c'était le corps de Marc qui se tendait, annonçant la montée en puissance du sperme. Puis ce fut l'extase de son ami. Bien sûr, il ne pouvait pas voir son visage mais il savait à quel point il lui donnait du plaisir et cette fusion entre eux le rendait heureux. Des jets violents et chauds touchèrent le fond de sa bouche, et il avalait par réflexe à chaque expulsion. C'était un goût sucré et tiède qui ne le déplaisait pas… À la fin de l'orgasme, il retira sa bouche puis se releva. Marc s'empressa de remettre son pénis à sa place et de refermer son jean, comme s'il voulait oublier cette parenthèse et continuer la journée comme si rien ne s'était passé
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