Histoire gawri 30

Une expérience homosexuelle que je n'aurais pu imaginer ne serait-ce que quelques mois auparavant. En effet faire des choses avec un ouvrier ne m'a jamais guère attiré. C'était il y a à peu près 1 mois, j'avais 23 ans et nous étions en période de vacances de fêtes. Nous devions être le 29 décembre et mon père m'avait offert un stage d'une semaine dans son entreprise qui devait compter une trentaine d'employés.

Cette société était spécialisée dans l'importation de composants éléctroniques, que ce soit pour les PC de monsieur tout le monde ou pour les stations graphiques professionnelles qu'utilise par exemple TF1 pour le journal télévisé.

J'était censé traiter quelques commandes de clients, bien sur malgré le fait que j'était le fils du patron et que la plupart des employés, qui n'avaient aucune importance à mes yeux vu qu'ils n'étaient pas de notre monde, me léchaient les bottes pour obtenir une misérable augmentation, on ne m'a jamais confié de commandes de plus de cent milles francs. Tout cela pour dire que je passais le plus clair de mon temps à me promener dans la société en regardant tous ces pauvres gens travailler. Lors d'une de mes très longue promenade, mon père me fit appeller par son "valet", dans toutes les entreprises il y a un lécheur professionnel qui ramène le café ou qui s'occupe des tâches ingrate avec le sourire, bref je dus aller dans le bureau de mon père.

Je me suis demandé s'il allait insister pour que je travaille un peu, et c'est ce qu'il fit, j'allais être obligé de photocopier 50 exemplaires d'une lettre de service qui parlait du problème des fumeurs dans les bureaux. Je me suis résigné à ma tâche et je suis allé à la nouvelle photocopieuse laser couleur, le temps de m'amuser un peu à agrandir la photo de mon permis puis j'entamai la procédure de duplication des 50 feuilles. Bien que cela ne m'ait pas vraiment pris de temps, j'aperçus à quelques mètres de moi 2 ouvriers qui étaient chargés de renouveller le parc informatique de l'entreprise. Je dois dire que j'aime vraiment regarder les gens travailler et donc je me suis posté quelques minutes devant ces personnes là.

Il y avais un homme barbu d'une quarantaine d'années et un jeune garçon typé, lascar dans le style de 17 ans à peu de choses près. Mes yeux se sont rivés sur le postérieur de ce garçon qui fixait une prise murale pour le réseau intranet, je dois quand même reconnaître que c'était une vision assez agréable. Après qu'il se soit relevé son patron est parti je ne sais quoi faire assez loin de lui, ce qui fait qu'il m'a aperçu, m'a fixé quelques secondes, sÛrement étonné par mon nouveau costume Francesco Smalto, puis il s'est permis de me sourire, je l'ai regardé en souriant aussi mais ironiquement.

Mon sourire n'a pas duré car profitant de l'absence du patron il fit une petite pause et enleva son espèce de casquette assortie à son bleu de travail. Ce geste qui paraît insignifiant m'a pourtant laissé paralysé, pétrifié sur place.

En effet sous cette chose bleue qui masquait une grande partie de son physique de gamin très mignon, sont apparus des cheveux d'un blondéclatant dans une coupe ébouriffée qui les mettait en valeur, de mon point de vue bien sÛr.

Je ne pouvais le croire , j'étais à deux doigts de me mettre à genoux devant un ouvrier qui était beau comme un dieu. Je me suis repris en main juste à temps, son patron revenait, d'ailleurs il lui a dit de vite reprendre le boulot. J'ai pris mes photocopies qui étaient encore chaudes et je les ai ramenées à mon père.

Je ne pouvais m'enlever de l'esprit ce superbe garçon brun d'une beauté parfaite. J'eus donc l'idée de me renseigner sur lui. Le temps de trouver le nom de la société sur le PC de mon bureau, plus précisément celui d'un directeur adjoint parti en vacances, je me suis relié sur l'intranet puis je me suis introduit dans l'ordinateur de mon père, j'avais tous ses mots de passes.

Une fois le nom obtenu, je m'aperçus que nous n'avions aucune information sur ces deux employés extérieur mis à part le nom du responsable présent,pas de problème, j'ai un numéro. Le temps de téléphonner à la boîte qui emploie le patron du garçon de mes rêves, puis je tombe sur une secrétaire, je lui demande de me faxer d'urgence le CV de l'apprenti qui travaille avec Mr T, le responsable, elle osa me dire "On ne donne pas ce genre d'informations Monsieur!"
J'ai rigolé, puis je lui ai rappellé qui j'étais et que mon père avait reçu de leur part un devis de deux cent milles francs HT pour le renouvellement du parc informatique, elle n'a pas pu répondre, sÛrement l'émotion, j'adore ce sentiment de domination je dois dire. Quelques seconde après elle me dit,"Mr H? Je vous transmets le document dans 2 minutes." Tout allait bien, j'ai raccroché puis j'ai reçu le fameux CV sur mon fax.

Je l'ai parcouru, il s'appelait Jamel, j'étais fou de ce prénom ensuite je vis qu'il était célibataire, qu'il était né en 1981 et qu'il pratiquait la boxe thai (hmmm), le VTT et d'autres sports.

Bref, ce garçon était parfait pour moi, à part le fait qu'il n'avait pas un bon niveau d'étude et que son père était ouvrier de maintenance enéléctromécanique, je me fis quand même enfin à cette idée d'être tombé
amoureux d'un plus pauvre que moi.

Après avoir réfléchi à la façon dont j'allais l'aborder, j'ai arraché le connecteur modular qui se trouvait dans une prise au sol sous mon bureau, puis je suis retourné les voir travailler et je dis à son patron que mon père voulais le voir, pour des modifications sur le schéma du réseau.

Il partit donc dans la direction de son bureau, j'étais seul avec Jamel qui se trouvait devant moi, il était toujours baissé en train de refermer une gaine contenant les câbles du réseau, il faut dire qu'il n'avait pas fini sa journée le pauvre, il lui restait au moins deux heures de boulot.

Qu'à cela ne tienne, j'ai décidé de lui adresser la parole et de le faire venir dans mon bureau, un dialogue a donc commencé:

   -  "Jamel?" Dis-je.

   -  "euh... Wesh...?" Me dit-il d'un air étonné.

   -  "Tu sais qui je suis? Non ne cherche pas, je suis le fils du directeur et j'ai besoin de toi dans mon bureau tout de suite."


   -  "Euh j'ai du travail à faire m'sieur," me dit il.

   -  "T'occupes, c'est moi le chef, et puis ne m'appelle pas monsieur s'il te plaît, mon prénom c'est Fabrice tâche de t'en souvenir Jonat'."

Très impressioné et étonné de ma sympathie, pour un fils de directeur, il me sourit et me dis:

   -  "Très bien Fab' alors on va dans ton bureau."
Ce fÛt mon tour d'être étonné, il me parlait comme à son pote, j'ai dÛ
le remettre en place:

   -  "Oui mais n'abuse pas, je suis ton chef n'oublie pas, alors évite de m'apeller Fab'."
Il me sourit en me disant:

   -  "Très bien chef Fabrice, je ferai tout ce que tu veux."
Qu'elle ne fut pas ma réaction à cette phrase, une éréction et une réponse:

   -  "Bien, tout ce que je veux, ok, bonne idée!"
Il n'avait peut-être pas saisi le message, mais ce n'était pas grave, nous
sommes donc allés dans mon bureau, et je lui ai dit:

   -  "Je n'arrive plus à accéder à l'intranet de l'entreprise, il faut que tu me répares cela."

   -  "D'accord je vais voir ce que je peux faire Chef!"
Je dois dire qu'il avait une façon de parler comme un gamin qui me faisait craquer et je dirais même fantasmer. Après avoir jeté un coup d'oeil sur le PC, il suivit le trajet des câbles et il s'est retrouvé sous le bureau, son superbe petit derriere moulé dans son bleu de travail dépassait de telle sorte qu'en entrant dans le bureau on ne voyait que cela, forcément le bureau était face à la porte.

Une idée jouissive m'envahit, mon sexe a alors gonflé dans mon pantalon qui devenait vraiment trop étroit, il faut dire qu'il n'était pas élastique contrairement à mon boxer Calvin Klein. Je me suis mis sur ma chaise deprésident, ce qui fait que Jamel s'est retrouvé, pour ainsi dire, avec sa tête entre mes jambes. Je lui ai dit:

   -  "Dis Jamel', tu te souviens quand tu me disais que tu ferais tout ce que je veux?"

   -  "Euh... Oui... Chef."

   -  "Bien! Dans ce cas, taille moi une pipe!" Lui dis-je en prenant tendrement sa tête de mes deux mains et en la mettant contre la bosse de mon sexe en éréction.

À mon grand étonnement je venais de m'apercevoir que j'avais hérité de l'autorité persuasive de mon père, j'ai quand même eu peur de sa réaction, mais il répondit:

   -  "Fabrice, comment as-tu su que j'étais PD? C'est mon chef qui te l'a dis?"

   -  "Pas du tout mais maintenant je le sais mon coco!"

   -  "D'accord je peux ouvrir ta braguette et baisser ton pantalon?"

   -  "Oui bien sÛr, allez, au boulot gamin!"

   -  "Bien chef! Je vais te sucer comme jamais on t'a sucé!"
À ce moment il venait de baisser mon pantalon ainsi que mon boxer CK. Il prit mon sexe que je pensais bandé à fond, mais au contact de sa langue chaude et humide il a encore grossi. D'un coup, bien que prenant un plaisir intense avec ce superbe gamin blond, je voyais que quelque chose n'allait pas, je sentais un peu trop ses dents et les mouvements qu'il faisait n'étaient pas réguliers et précis, une phrase m'échappa:

   -  "Tu es puceau ??!!"
Il est tombé en arrière rouge de honte et presque les larmes aux yeux il me répondit:

   -  "Je suis désolé, oui je n'ai jamais essayé avec un garçon pourtant ça fait des années que je voudrais, je suis désolé de t'avoir mal sucé..."

À ce moment j'ai cru qu'il allait pleurer, cela m'a fait un tel choc de voir ce que j'avais fait à ce pauvre gamin vierge, que je l'ai aidé à se relever puis je l'ai pris dans mes bras. Il a pleuré sur mon épaule en me disant:

   -  "Personne ne m'aime, je n'ai pas de copains et comme j'aime les garçons tout le monde me traite de PD dans le ghetto, en plus maintenant je t'ai déçu en ne sachant pas te sucer..."

J'étais dans un autre monde, j'avais dans mes bras un garçon de 17 ans vierge, comme on l'a tous été, un être si fragile que je ne pus me retenir de verser une larme aussi, l'émotion...

Je sus à partir de ce moment que nous allions avoir des liens très proches et dorénavant, je le considerais comme mon égal, je ne le voyais plus comme l'ouvrier éléctricien, maintenant c'était le garçon dont j'étais amoureux et rien ni personne ne pourra jamais nous séparer

 

 

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