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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA

Fantasmes ou réalité ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons

Rue Coustou début de l'histoire

 

"La ennième entrevue sans suite pour un emploi merdique! il me restait encore un rencart, l'annonce de Boum-boum était elliptique, et ça me paraissait un peu glauque. Mais c'était plutôt fait pour me titiller même si
j'étais un peu tendu. Et puis de toute façon je n'avais pas le choix.

"Cherchons jh majeur pour accueil clients. Se présenter réception hôtel 3 rue Coustou 18è le 20 juin  à 18h" 

l'heure paraissait tardive pour un entretien d'embauche; j'avais couru dans tout Paris et me sentais sale, on
allait être combien comme ça à échouer en bout de journée dans cet hôtel! j'y étais presque et il était temps. Le quartier était très vivant mais assez mal famé : pratiquement plus de putes mais plein de porno-shops et de vidéo-sexes. C'était quoi cet hôtel ? Le voilà. Plutôt mieux que les alentours; l'air tout neuf. A la réception un
homme entre deux âges avec une belle gueule burinée et hâlée et  un brillant assez gros incrusté dans le lobe de l'oreille gauche. Avec un drôle de sourire en coin il articule :"C'est...pour l'annonce?"  "Oui. Je suis le premier?" "Non, il y en a dejà trois, mais vous êtes le premier blanc; vous êtes français?... Pour l'instant vous êtes le seul. Il y a un grand sénégalais, une marocain et un thaïlandais. C'est marrant : à vous quatre, c'est black, blanc , beur, jaune. Ecrivez votre nom et laissez votre adresse sur cette feuille pour qu'on reprenne contact avec vous. Ca m'étonnerait
qu'il en vienne d'autres aujourd'hui, mais le recrutement dure toute la semaine. Un conseil: si vous voulez être pris : ne soyez pas trop bégueule. On va vous mettre à l'épreuve là-haut; les membres de la direction vous attendent au  dernier étage. L'ascenseur est là, à droite dans le couloir"

"Quel genre d'épreuve? c'est pour quel boulot? c'est  bizarre : on dirait que cet hôtel est tout neuf et n'a pas encore de clients!" "Bien vu; on n'a pas encore commencé: mais la clientèle sera exclusivement masculine""Eh! je n'ai pas l'intention de faire la pute dans un bordel homo" "Tout de suite les grands mots, ce sera un hôtel; mais il ne faudra pas être agressif avec la clientèle: vous imaginez un groom homophobe ici? Si c'est votre cas, autant repartir tout de suite, comme le précédent; vous avez dû le croiser... Vous restez? tant mieux... les trois autres aussi sont restés en connaissance de cause. Mais je vous trouve plus mignon, encore que le petit thaï ne soit pas mal non plus, peut-être un peu trop féminin. Les deux autres font plus mecs virils  même s'ils ont encore de la fraîcheur adolescente. Mais je cause, je cause; c'est parce que vous m'êtes sympathique. Allez, montez! et n'oubliez pas : vous êtes en concurrence, alors soyez compréhensif" dit-il en sortant de derrière la réception et en me poussant légèrement vers le couloir, la main sur ma fesse.

Ca se précisait! Mais jusqu'où allaient-ils pousser le bouchon? et qu'est-ce que j'étais, moi, prêt a accepter? J'étais perplexe, à la fois excité -je bandais à moitié- et inquiet; évidemment pas question d'accepter n'importe quoi et je craignais un plan de prostitution organisée mais j'étais attiré par l'idée d'être au carrefour des tentations, d'être offert aux désirs passagers, de croiser certains mecs qui me plairaient, d'être l'inévitable objet de tentatives dont il ne dépendrait finalement que de moi qu'elles aboutissent ou pas. . Au fond ça me tentait assez; et puis c'était quand même un job, enfin! Au pire, je le perdrais si c'était trop dur. Mais par où la direction allait-elle me faire passer pour être choisi? En disant "les membres de la direction", il avait souligné le premier mot, j'avais pris cela pour une hésitation, et si...

L'ascenseur venait de s'arrêter au 7ème. Je respirai un grand coup  eto poussai la porte. "Tiens en voilà un autre.
Bonjour! Tu t'appelles?" "Edouard, monsieur" "Bien cela! Tourne toi. Pas mal. On va prendre tes mesures et pendant que tu iras te doucher-j'ai l'impression que ça ne te fera pas de mal- on va te trouver des habits à ta taille. Au fond du couloir il y a une salle de douche commune, va y rejoindre les autres. Il est 18h15 :vous avez 1/2 h pour être propres, sentir bon et revenir vous habiller ici. Hé! tu te douches habillé? Tu laisses tout ici, tu le reprendras en fin de soirée"  En fin de soirée!?

tandis que je me désapais sous l'oeil totalement indiscret de ce type inconnu, je me demandais dans quoi je m'embarquais. Il n'était pas laid malgré un léger embonpoint; il avait dû être sportif et s'était un peu enrobé: à vue de nez 1m85 , dans les 80k, de beaux yeux bleu-verts et une chevelure drue et sombre, à peine grisonnante. 45a? peut-être plus... Son pantalon assez souple exhibait une bosse que j'avais beaucoup de mal à ne pas regarder, d'autant qu'il me semblait aux rares regards que j'y jetais qu'elle se gonflait à mesure que je me dénudais. "Visiblement, fit-il en insistant sur le mot, tu ne détestes pas être regardé; c'est un bon point" Je retins de justesse la réplique qui l'aurait renvoyé à sa bosse et baissai les yeux en allant vers la douche sans pouvoir interdire à ma queue de lui répondre, par un nouveau gonflement, qu'il avait raison. Quand je poussai la porte de la douche, je fus scié par le spectacle : à peine voilés par la vapeur, deux superbes mecs à poil avaient commencé à se savonner et la mousse soulignait le relief de leurs corps diversement colorés. Comme l'avait dit le portier qui ne les avait vus qu'habillés, ce noir et ce beur étaient deux superbes étalons, racés, nerveux, puissants. Le plus beau d'allure générale était le sénégalais, car il alliait à la force évidente de ses muscles longs et de ses reins cambrés un port magnifique, une souplesse élancée qui lui donnaient un air royal; ce qu'il avait de moins beau finalement, c'était son sexe qui émergeait de la mouse neigeuse, énorme certes et lourd mais justement sans la nervosité qui caractérisait le reste de son corps.

Le marocain lui aussi avait une queue épaisse et lourde; étrangement, quoique moins longue  et plus trapue, elle paraissait plus légère; mais quel morceau au centre de ce corps étiré comme le personnage de Vinci qui sert d'emblème à Manpower. Tel il m'était apparu quand le noir en se retournant m'avait dégagé la vue. Il avaitouvert les yeux et son regard filtrant avait diffusé son miel jusqu'à moi. Des yeux à se damner, brillants sous la soie des paupières. Et un corps d'un matité sublime. Rien que pour ce spectacle, je ne regrettais pas d'être venu. Mais où donc était le thaï? "Salut! moi c'est Badou!" "Et moi   Mohammed; ce n'est pas très original" "Et moi Sothean" dit une petite voix plus aigue tandis qu'apparraissait une frêle miniature d'une exquise fragilité, incroyablement féminine de complexion n'étaient la poitrine plate, le sexe discret de taille mais pas d'allure car il bandait de ses 12 ou 13 cms, et surtout -ce qui me touche le plus peut-être dans l'homme- la forme de ses hanches et de son cul. Une
porcelaine masculine.

"Moi, c'est Edouard. Mais je crois que je ferais aussi bien de repartir; vous êtes tellement beaux que je ne peux pas rivaliser" "Arrête ton char, dit Badou. T'as une belle gueule et un beau corps. Tu ne sais pas ce qu'ils veulent et peut-être qu'ils en prendront plus d'un. Tu as vu l'hôtel: 7 étages, une dizaine de chambres par étage. Si ça se remplit, il faudra du personnel. Viens! y a que trois douches et pendant que tu te mouilles, tu pourras me frotter le dos comme Sothean à Mohammed. Enfin, si tu veux..." "Oui, bien sûr. Vous savez ce qu'ils attendent de nous?" "Pas vraiment, répondit Mohammed. Le portier m'a dit "nous mettre à l'épreuve". Ca veut certainement dire voir si on est compréhensif avec les clients et ils vont certainement jouer aux clients ce soir" "Oui, renchérit Sothean, ils vont certainement avoir la main baladeuse et peut-être plus; ça ne veut pas dire que ce sera comme ça avec les clients, mais ça risque d'être plus dur ce soir; ils vont voir jusqu'où on accepte d'aller,  au maximum." "Et évidemment ils nous mettent en concurrence pour nous pousser à accepter; peut-être plus que des caresses, de sucer ou même de baiser ou de se faire baiser" "Moi pas question, dit Mohammed" "Allons, dit Badou, tu ne vas pas me faire croire que tu n'aimes pas les hommes; on en est tous, ça se voit; elles ont pas la même taille mais on a tous la queue plus ou moins dressée. Ceux qui ne voulaient pas, le portier les a écartés. Nous, si on est là, c'est parce qu'on a déjà accepté." Mohammed s'était adossé au mur comme accablé: "C'est vrai que j'aime me payer des mecs, j'aime bien ca même; mais les meufs aussi même si c'est pas pareil! ...en tout cas je ne veux pas me faire mettre"

"Ca ne t'est jamais arrivé? vraiment?  Moi si! j'aime bien les deux et je ne suis pas moins mec.  D'ailleurs  moi le type qui est là dehors, je me le ferais bien, c'est assez mon genre; j'aurais pu le draguer si je l'avais rencontré ailleurs. Et même le portier, il est pas mal du tout" Mohammed ne répondait pas ce qui laissait penser que Badou touchait juste: les  deux mecs de l'hôtel ne lui déplaisaient peut-être pas non plus et  sa sexualité n'était sans doute pas aussi exclusivement pénétrante qu'il voulait le faire croire; une question de façade à l'évidence.               
                                                                            
"Vous avez dit "ils" plusieurs fois, demandai-je; vous en avez vu d'autres que celui qui nous a fait mettre à poil?" "Oui, dit Sothean, j'en ai vu sortir  un autre d'une chambre où il y avait encore quelqu'un,  à qui il a dit "je reviens tout de suite, je vais voir combien on a de recrues". Il n'y avait encore que Mohammed et moi. Mais eux ils sont au moins trois" "Et il était comment? quel âge?" "Genre aryen de 35-40, blond en brosse très courte, regard bleu acier, assez élancé, plus de 180 pour moins de 70; bomec, mais un peu inquiétant, sans doute un peu pervers ; en passant près de moi, il a murmuré "toi, tu aimes les hommes" J'ai fait comme si je n'avais rien entendu" "Alors qu'est-ce qu'on fait?" "A mon avis, dit Badou, il faut  faire ce qu'on ferait par plaisir, et même accepter sans rechigner ce qu'on pourrait faire sans  trop de dégoût, mais refuser ce qui nous débecte vraiment. On verra bien. Tu en penses quoi,
Edouard?" " Je suis assez d'accord avec toi. Je ferai comme je le sentirai, en y mettant, juste pour ce soir, un peu de bonne volonté. Mais pour l'instant ce que je sens, c' est que tu te mets à bander"

"Evidemment, après m'avoir frotté et massé le dos -très agréablement je dois dire- tu es descendu aux fesses que tu as malaxées avec énergie, sans me négliger la rondelle, et depuis deux minutes tu me manies les couilles avec enthousiasme. Si je ne réagissais pas... Puisque tu t'es mis a genoux, tu es en position pour me calmer. Allez! tu ne vas pas me refuser une bonne pipe, dit il en se retournant et en me poussant son énorme engin dans la figure. On voit que tu en as envie." C'était vrai, et pourtant c'est à peine si, la bouche distendue, je pouvais l'enfourner. Pendant qu'il me poussait la tête vers sa queue, je poussais ses fesses à pleines mains vers ma tête et j'entendais derrière moi Sothean proposer à Mohammed "Tu veux aussi?" Je n'entendis pas la réponse mais au bruit de déglutition je compris qu'on faisait un duo. On était en pleine dégustation, Sothean et moi, quand laporte s'ouvrit soudain "It's time; c'est l'heure. Dites donc, vous prenez de l'avance sur le programme"

C'était le portier : il s'approcha de Badou qui venait de s'arracher à ma bouche, lui saisit les couilles d'une main et de l'autre sa lourde queue humide de ma salive. "Sacré paquet!"; il lâcha le tout, claqua ses mains sur  les fesses rebondies; "et sacré cul! Vous avez de la chance que ce ne soit pas M. Bagossian ou M. Berger; sinon, vous aviez droit à la totale. Mais je préfère être discret et me concilier la reconnaissance de ces merveilles" En disant cela, il allait de l'un à l'autre, soupesant la queue de Mohammed, pinçant un sein de Sothean, me claquant la main sur une fesse... "Rincez-vous, séchez-vous -j'ai posé des serviettes dehors- et venez vous habiller! tout se passera bien, vous verrez. Allez, on ne traîne pas; ils attendent"

Je pris quand même le temps de me savonner rapidement les aisselles et le cul pendant que Badou me shampoinait. Mon retard presque rattrappé, je me rinçai et sortis bon dernier. Mohammed et Sothean étaient déjà en train de s'habiller en tenue de groom, mais bleu clair, pas le rouge habituel. Badou qui venait de s'essuyer se dirigeait avec une grâce souveraine, comme un mannequin en représentation, vers le bureau où l'attendait la direction. Ils étaient trois effectivement : celui qui m'avait reçu, l'aryen décrit par Sothean et un troisième plus âgé mais mince avec un air de Clint Eastwood, genre vieux cow-boy buriné mais habillé très élégamment. Ils étaient absorbés dans la comtemplation de Badou. Je me retournai et commençai à me sécher quand je sentis une serviette me bouchonner le dos et une voix cassante dire ;"Vous êtes toujours en retard? ici la ponctualité est exigée." Je tournai la tête "Excusez moi! je me dépêche"  C'était l'aryen, une très belle gueule, mais inquiétante. Il continuait à m'essuyer: la  main gauche sur ma hanche, il me séchait les fesses de l'autre, insistant sur la raie dans laquelle il s'enfonçait comme à la recherche du cul. "Ca va, je vais me débrouiller" balbutiai-je, troublé parce que je me sentais bander. "Ecarte les jambes, ordonna-t-il, tandis que je sentais son index sous la serviette appuyer sur ma rondelle que je ne pouvais empêcher de réagir. Je ne sais pas pourquoi j'étais subjugué, mais j'obtempérai. La serviette glissa jusqu'aux couilles que la main malaxa, puis enveloppa tout mon sexe dont l'érection violente était comme un aveu, et aurait démenti d'éventuelles protestations. Il s'était mis à genoux et je sentais la manche soyeuse de son costume glisser contre mon périnée. Il se releva :

"Tu m'as l'air sec; va t'habiller, et ne traîne plus". J'étais sec en effet, mais je me sentais humilié de devoir faire près de 20m le sexe en l'air sous l'oeil des autres. "Qu'est-ce que tu attends? Si tu continues, adieu le boulot! Les autres sont déjà prêts" C'était vrai : ils étaient rangés dans leur tenue bleue, le long du mur, mais leurs regards tournés vers moi me pesaient autant que ceux du staff. Je m'attendais à une réflexion ironique, mais rien et c'était presque pire, ce non-dit turgescent qui me précédait. Le petit tas de fringues m'attendait et j'enfilai dans l'ordre où ça se présentait : une paire de socquettes  blanches, un string blanc dans lequel je pus enfin loger, à l'étroit, mon sexe qui refusait de débander, un pantalon moulant à base d'élasthane sans doute, dont le devant à la manière des pantalons marins n'avait pas de braguette mais, au dessous de la ceinture qui se fermait avec un bouton, un rabat  ouvert  dont l'extrémité seule était boutonnée. Un vrai pousse au crime à la fois moulant et semi ouvert puisque par le côté on pouvait glisser la main à l'intérieur sans obstacle. Du reste si la souplesse du tissu plaquait au repos le rabat sur le pantalon, il arrivait dans certains mouvements que ça s'entrebaille un peu, comme je venais de l'expérimenter en chaussant les deux mocassins beige clair. Il ne restait plus que la veste qu'apparemment on devait enfiler directement sur la peau et qui était comme la pantalon dans ce tissu extensible soyeux si jouissif. Fermée par une bande velcro médiane, elle était parfaitement à ma taille, mais rejoignait tout juste, c'est à dire à peine la ceinture du pantalon, laissant voir ou deviner un peu de peau à la taille, avant la chute des reins derrière, au
niveau du nombril devant. C'était très beau et à l'évidence fait pourérotiser.

J'étais prêt et je pus constater que les trois autres étaient aussi désirables ainsi, voire plus, que nus sous la douche, et on en voyait presque autant, tant le tissu moulait, dessinait, soulignait les courbes et les creux, sorte de deuxième peau soyeuse, mettant en abîme et en désir la première qui apparaissait à la lisière de la ceinture et du col rond. Quand aux sexes, ils étaient parfaitement  indécents chez Badou et Mohammed, tordus par la compression des strings mais en même temps dessinés  par le pantalon moulant. Quand ils banderaient, ce serait évidemment bien pire! Sothean profitait de la forme du string qui majorait plutôt l'ampleur de ses bijoux. Quant à moi, je sentais mon sexe comprimé comme projeté à la face des témoins, comme si, loin d'être masqué, il était présenté sur un plateau,
comme si, à la place du rabat, il y avait un trou dans le pantalon. Je ne pouvais pas cesser de penser à mon sexe en exposition publique."

la suite.......bientôt

 
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Avertissement : attention cette histoire peut choquer certaines sensibilités par les pratiques décrites.
 
Debut de l'histoire de Damien
 
suite n°1 Damien
 
suite n°2 Damien
 
Suite n°3 Damien
 
suite n°4 Damien
 
suite n°5 Damien
 
Suite n° 6 Damien
 
Fin de l'histoire de Damien
 

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