B.A.H. |
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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA |
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Fantasmes ou réalité ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons | |||||
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Redha qu'on appellait zarga |
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J'ai d'abord vu tes yeux, d'un vert intense sur un visage bruni de soleil, ta beauté Ridha était insoutenable. Mon regard est tombé sur la déchirure à ta braguette, l'éclat rouge d'un slip moulait ton gland circoncis. Dans l'écrin effrangé des cotonnades s'incurvait éclatant ton sexe comprimé, ton slip trop petit s'ouvrait aux coutures et tes deux fesses bondissaient. Ma gorge se serrait de te savoir inaccessible tandis qu'une douceur inconnue m'inondait. Tu n'avais pas vingt ans, un air d'innocence, la sensualité de ton corps musculeux jaillissait vive et fulgurante, déjà, tu t'installais en moi. w L'orangeraie La voiture arrêtée dans l'ombre des orangers, je portai ma main vers le renflement de ton cou. Tu t'en saisis et l'abaissas jusqu'à ton sexe, tendu sous le tissu du pantalon. Faisant pivoter ton buste, tu me pris par les épaules et m'embrassas longuement sur la bouche. De ma main libre je te caressais les joues et les yeux. Tu me massais le bas du dos et les fesses. Sans bouger je dénudai ton sexe, ta poitrine et tout ton corps. Tes mains couraient avec impatience le long de mon dos, glissaient sous la ceinture que tu ouvris, évitant mon sexe, pour pétrir la partie de mon corps qui t'intéressait. Je profitai du face à face pour humer et lécher ton torse, et lorsque l'accord se fit sur les services que nous pouvions mutuellement nous rendre, la jouissance déferla sur nous presque aussitôt. L'été se consumait à petit feu. Tu descendis de la voiture et t'éloignais comme à regret, je lisais dans tes yeux le désir de me satisfaire encore. Le soleil couchant te frappait en plein, faisant flamber tes cheveux dans la poussière qui s'élevait du sol comme une brume et te nimbait. Le crépuscule tombait brutal et brûlant. w Le lendemain En cette fin de journée, je te trouvai à l'heure dite, seul, assis sur une pierre et fumant une cigarette. Tu avais embelli et tes yeux souriaient, tes cheveux couleur de paille sèche bouclaient, mon désir de toi était tel que je n'osais te regarder. Je pris tes lèvres et me couchai contre toi. Je restais immobile à respirer ta peau. Je regardais ta carnation ambrée, la courbe lisse de tes joues, la finesse de tes sourcils et la lumière de tes yeux. La possession de tels joyaux me semblait impossible, je tendais la main vers toi pour m'assurer de ta présence. Je contemplais le vert de tes yeux pour le graver dans ma mémoire. L'émotion qui me soulevait me ramenait à mes fantasmes solitaires, pourtant tu étais là : ''je suis bien avec Ridha en ce moment'' me forçai-je à penser. Tu t'étendis de nouveau sur la terre et me mordis un doigt. J'ai caressé ton crâne à demi rasé, tu as dégrafé tes vêtements et m'as attiré contre toi. Je me suis allongé sur ton ventre doux et j'ai mordillé tes lèvres. Mes doigts fouillaient ton intimité, bonheur tactile, ta virilité et ta puissance ne faisaient aucun doute. Nous avons joui ensemble jetant notre semence sur les feuilles mortes, mêlant notre arôme à l'odeur de terre humide et de champs parfumés de menthe verte. Je t'emportai dans le crépuscule vers les tiens, toi Ridha, tu fumais en silence, apaisé et détendu, tu goûtais le plaisir intérieur qui naît de l'amour satisfait. w Le samedi suivant Ce jour-là nous avions découvert une ancienne maison isolée, près de l'oued, toît effondré, puits tari, jardin aux fleurs odorantes. Dissimulés au creux de l'oued par un bouquet de lauriers roses, nos gestes d'amour avaient dérangé un pigeon qui nichait là et s'était envolé brusquement devant nous. Blotti dans tes bras, je goûtais ta salive, scrutais ta peau vernissée, te serrais contre moi comme un bien précieux. Devant aucun être je n'avais ressenti l'aussi parfaite évidence de la beauté. Je pouvais sans obstacle me repaître de ton corps, mes mains, mes lèvres, ma peau étaient les serviteurs insuffisants de l'intensité de mes désirs. Ta nuque et tes cuisses irradiaient de vigueur. Ton sexe, fabuleuse lance sauvage, grandissait brutalement sous l'action conjuguée de mes caresses et de ma langue, peu à peu mon corps nu s'embrasait au feu ardent de ta torche. Pourrions-nous redescendre indemnes des sommets où nous montions ? Ta sodomie vînt m'apaiser Appuyé contre une branche, je m'abandonnais à tes vas et viens fougueux. La pénétration devait tant durer, que tu semblais aimer autant son intensité que l'attente de son abondante explosion. L'énergie bienfaitrice puissamment libérée par tes génitales batteries, remplit de bonheur le bas de mon épine dorsale si assoiffée. La possession intime de mon corps témoignait de la fusion totale de nos désirs. L'amour nous emportait sur notre nuage, sorte de territoire sans règles, seul comptait le jaillissement du plaisir partagé. Jamais aucun geste dominateur ou de mépris entre nous, Ridha et moi étions le prolongement l'un de l'autre, la marque indicible d'une idylle harmonieusement réussie . En ce jour finissant, le ciel voilé et l'oued tortueux se confondaient à l'horizon dans un même rougeoiement pour un ultime plaisir, commun et gratuit.
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LES FEUILLETONS | |||||
Le feuilleton de pricrochole 1 | |||||
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L'histoire sans fin 1 | |||||
Les aventures de Damien en Tunisie (merci à andré pour ce feuilleton) | |||||
Avertissement : attention cette histoire peut choquer certaines sensibilités par les pratiques décrites. | |||||
Debut de l'histoire de Damien | |||||
suite n°1 Damien | |||||
suite n°2 Damien | |||||
Suite n°3 Damien | |||||
suite n°4 Damien | |||||
suite n°5 Damien | |||||
Suite n° 6 Damien | |||||
Fin de l'histoire de Damien | |||||
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