B.A.H. |
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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA |
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AVERTISSEMENT Ces histoires que vous allez lire décrivent des relations sexuelles entre adultes consentants, et surtout de même sexe! Si la législation ou les règles morales auxquelles vous obéissez vous interdisent de lire de telles choses, retournez en arrière, il y a plein d'autres choses à voir sur le Net. Si vous êtes curieux, allez-y, régalez-y et découvrez (peut-être) d'autres façons de profiter de la vie. Merci chers amis pour les histoires que vous nous envoyez et qui ravissent les visiteurs du site
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Les aventures de Damien |
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ATTENTION : cette histoire décrit des pratiques sexuelles particulièrement violentes et dégradantes |
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Damien en Tunisie : suite n°5 Deux ou trois jours après la fantasia, la première fissure entre moi et Sylvie. Toute la nuit, elle avait refusé mes avances, d'abord avec douceur, puis avec exaspération. Le matin elle m'a annoncé qu'elle passerait la journée avec Khaled. Elle devait certainement s'attendre à ce que je lui demande des comptes. Mais je n'ai rien dit. Je savais déjà ce qui se passait. Je me suis contenté de lui poser un baiser sur le front avant d'aller prendre ma douche en lui souhaitant de passer une bonne journée. Je pense que c'est à cet instant précis que notre séparation s'est faite. Même si aucun de nous ne l'a annoncé. J'ai passé la journée à marcher dans la ville. Je voulais retourner en France. Tout de suite. Laisser ce pays, tout abandonner et retrouver ma vie d'antan et mes joies d'avant. J'en avais marre. Vers le milieu de l'après-midi, je suis retourné à la plage. Les jeunes jouaient au foot devant les bungalow. Tous les jours, ils étaient là et jouaient inlassablement. Le petit marchand de maïs étaient avec eux. Ils se lançaient le ballon pour tenter de marquer. Dans les but, il y avait Mourad. Lui aussi avait été largué pour la journée. Comme moi. Il m'a fait un signe de la main. Les jeunes m'ont entouré. Je n'avais pas envie de jouer au ballon. Mourad m'a demandé si la fantasia m'avait plus. Aux intonations de sa voix, j'ai compris que j'allais payer pour Sylvie. Je m'en foutais. - Alors, il parait que maintenant tu te fais payer? Les jeunes se sont calmés. Je ne savais pas si ils comprenaient le français. Mourad a parlé au vendeur de maïs. J'ai vu la clef changer de mains. Les jeunes se sont esclafés en me tournant autour. Ils ont rompu le cercle devant la porte bleue. Tête baissée, je suis entré dans le bungalow sous leurs quolibets. Mourad m'a donné un bourrade sur les omoplates. Je connaissais le chemin. Il ne m'a rien demandé. Complètement soumis, j'ai ôté ma chemisette, mes espadrilles et mon pantalon. J'avais les mains sur l'élastique de mon maillot de bain. - Garde le... Penche toi et prends appui sur le lit... Écarte les jambes... Encore plus... Je ne comprenais pas ce qu'il cherchait. Il est resté immobile derrière moi sans se déshabiller. - Ne bouges pas... Je reviens... La porte qui s'ouvre. Il sort un instant et revient. J'entends des bruits de pas. Des chuchotements, des rires nerveux, des piétinements. Mourad est à nouveau là. Il prend mes cheveux et les tire en arrière, m'obligeant à lever la tête vers le mur décrépis. - Tu vas répéter ce que je dis... Il prononce une courte phrase en arabe. - Répète ce que je viens de dire. Je prononce les mots incompréhensibles. Une autre phrase que je répète. Puis d'autres. Les chuchotements continuent dans l'autre coin de la pièce. Ils sont entrecoupés de rires, de silences quand je parle. - Maintenant tu baisses ton slip lentement... Plus lentement que ça... Enlève le complètement... Reste les jambes bien écartées.. Des claques sur mes fesses. Le bruit résonne dans toute la pièce couvrant les voies basses. Je sursaute de surprise plus que de douleur. - Bouge ton cul... Allez, fais danser ton cul... Les coups tombent sèchement. Je gémis en me cambrant pour y échapper. Je tortille mes fesses dans tous les sens. Les chuchotements deviennent plus fort. - Maintenant tu t'écartes les fesses... Plus... Je veux voir ton trou de pute... Dévoile bien ta raie... Puis il passe à l'arabe. Je suis obligé de répéter trois fois la même phrase. Je ne sais pas ce que je dis. Des crachats s'écrasent sur ma raie ouverte. Les murmures sont jeunes. Je sais que nous ne sommes pas seuls et qu'il est en train de me donner en spectacle. Mais en même temps, je refuse de reconnaître les faits. - Couche toi sur le lit ma salope... Écarte bien tes cuisses... Laisse pendre tes jambes de chaque côté... Il dit quelque chose en arabe. Un mouvement furtif dans la pièce. Des raclements sur le sol puis près du lit. J'ai le visage plaqué contre le grabat. je ne peux rien voir. De toute manière, je refuse de voir. Un corps sur le mien. Pas celui de Mourad. Bien plus léger. Plus vif. Tout de suite une queue impatiente qui cherche l'entrée. Un gland qui se pose contre mon anus. Une poussée. Maintenant mon cul se dilate sans problème. La bite de l'inconnu entre sans problème. Il s'agite sur moi. À peine une minute avant de me remplir. Il se lève en riant d'une voix juvénile. - Reste comme ça... C'est pas fini. Un autre me couvre. Cherche la voie. La trouve rapidement et me plante son sexe en couinant de joie. - Tu sais ce que tu leur as dit tout à l'heure... Tu leur as dit que tu étais une pute. Une chienne qui adorait se faire niquer... Tu leur as demandé de te baiser à la chaîne... Tu leur as dit que c'était gratuit et que tu voulais leurs queues... J'ai serré les dents quand le troisième m'a sodomisé. Sa bite était plus grosse que les deux précédentes. Il a mis plus longtemps à jouir. Des flots épais ont rempli mon ventre. J'avais mal. J'ai crié quand un quatrième s'est couché sur moi et m'a enculé violemment. - Tu peux crier... Ils s'en foutent... Ça les excite de t'entendre gémir comme une fatma... C'est dommage que tu ne peux pas les voir... Les premiers qui t'ont niqué rebandent déjà... Je sentais mon cul endolori recracher le sperme. Je pétais et ils riaient. Je ne sais pas combien de fois ils m'ont niqué. Ni combien ils étaient. Cela m'a paru interminable et je ne sentais plus mon cul. Je pleurais sans aucune honte pendant qu'ils jouissaient dans mes intestins. Un odeur de merde flottait dans la pièce. Je n'avait plus conscience du temps. Je serrais les dents à chaque intromission. Les sexes qui pourfendaient mes intestins me semblaient de plus en plus gros. Mes mains agrippaient les bords du lit de toute mes forces. Je crois que je me suis évanoui... Puis plus personne ne s'est couché sur moi. Je n'avais pas la force de me lever. J'avais envie de vomir. Malgré mon état, je savais qu'il y avait encore du monde dans la pièce. Mourad a pris un gros épis de maïs dans le stock et a retourné les feuilles de protection et les filaments. Il a tiré mes cheveux m'obligeant à lever la tête. Il a bien vu que j'avais pleuré. Il a placé le légume devant ma bouche. - Suce le... Suce le bien... Les autres étaient toujours dans la pièce. Je léchais le légume sur toute sa longueur. Je le suçais comme on suce une bite. Je savais parfaitement sucer maintenant. Bien sûr, je pouvais à peine prendre la moitié du légume dans ma bouche. - C'est bien... On va leur montrer les capacités de ton trou... Mourad a positionné l'épis entre mes fesses. Je l'ai supplié de ne pas faire ça. Mais il voyait bien que je bandais. Avec eux, je bandais toujours. Plus ils m'humiliaient, et plus je bandais. J'entendais les exclamations de surprise des mômes. Mourad a poussé le légume. J'ai encore supplié d'une voix rauque. - Tu ferais mieux de te taire... Branle toi et tu auras moins mal... Montre leurs que tu aimes ce qu'on te fait... Mourad m'a planté la presque totalité du légume dans mon fion qui l'a englouti sans problème. J'étais sidéré de la facilité avec laquelle le gros légume s'est enfoncé en moi. J'avais mal, mais la douleur était tout à fait supportable. - Attends... Y en a encore... Mourad l'a poussé jusqu'aux feuilles. Mon anus s'est refermé sur le légume. Seules les feuilles dépassaient. L'épis ne pouvait plus ressortir. Drôle de sensation de dilatation. Peur aussi qu'il ne puisse plus ressortir. - T'es comme une poule farcie... Branle toi... Je me suis branlé. J'ai dû sucer son sexe tendu en gardant l'épis planté au fin fond de mon ventre. Il m'a aspergé le visage de son foutre chaud et gluant. J'ai gémis comme une pute. Une bite devant ma bouche. Elle est fine et longue. Des couilles imberbes que je lèche. Un gland très doux que je tète et du sperme que j'avale. Une très grande quantité de sperme que je bois jusqu'à la dernière goutte. Pas le même goût que celui de Mourad. Des paroles de gamin. C'est le vendeur de maïs. J'ai joui comme un fou devant eux. Les spasmes de jouissance étaient tellement violents, que ma tête tournait. Il était temps que je prenne le chemin de mon lieu de rendez-vous. J'ai fini mon café turc et me suis dirigé vers le port. Je savais qu'il y avait une bonne vingtaine de minutes de marche. Assez de temps pour revivre la fin de mes aventures en Tunisie. Quelques jours après la séance de la fantasia, il y a eu les hammams où j'ai vue ma copine avec Khaled. C'est après cette séance que tout a véritablement changé entre nous. Avant de quitter la pièce, Khaled et elle ont échangé devant nous un long baiser passionné et à la voir coller sa tête contre le torse musclé de Khaled et ne pas lui en vouloir du tout de la sodomisation par surprise, j'ai compris qu'elle était vraiment amoureuse de lui. J'en fus presque soulagé car il fallait reconnaître objectivement que j'éprouvais de moins en moins de sentiments pour elle. C'était devenu sans que je m'en aperçoive une bonne amie. Mais rien de plus. Dès lors, les choses sont devenues plus claires car elle a passé la majeure parties de ces journées avec Khaled, me laissant seul avec Mourad. Khaled non plus ne venait plus me voir. Avec Sylvie, ils trouvaient toujours des prétextes pour s'éclipser. Je laissais faire sans demander d'explication. Elle a compris que j'avais compris et c'était très bien comme cela. Par contre il m'a semblé que Mourad était un peu jaloux même si son admiration pour Khaled le poussait à accepter l'idylle. Lui m'avait à sa disposition, et bien sûr, se vengeait sur moi. J'en retiens beaucoup d'autres souvenirs dont un dernier très cuisant, car la dernière semaine de vacance, Khaled et Sylvie avaient décidé de partir pour deux jours dans le sud du pays. Khaled voulait lui montrer le village où il était né. Ça allait de mieux en mieux entre eux deux. Ils sont partis assez tôt et vers le milieu de la matinée Mourad est venu me chercher directement chez moi. - Allez, viens avec moi. Devant mon incompréhension, il m'a précisé que nous aussi nous allions partir deux jours avec des pêcheurs d'étoiles de mer. Nous allions passer quarante-huit heures en pleine mer. J'étais assez inquiet mais je n'ai bien sûr pas pu refuser. J'ai voulu prendre des vêtements de rechanges. - Pas la peine, tu peux rester comme t'es. Mais tu mets de bonnes chaussures. Je portais uniquement un polo et un short sur mon maillot de bain. J'ai enfilé mes grosses tennis. Mourad a pris mon sac de plage qu'il a vidé sur le lit. Il y avait une serviette de bain, un slip de rechange, un flacon d'huile solaire, un blouson de protection contre la pluie et mes cigarettes. Mais, il y avait aussi un paquet de tampons périodiques. Je les avais complètement oublié. Bien sûr, ils étaient à Sylvie en cas de besoin. - Tu vois on a raison de t'appeler Damia... J'ai été assez con pour lui répondre que c'était à Sylvie. Il a tout remis dans le sac. Assis sur le lit, il me regardait d'une façon que je connaissais bien maintenant. J'ai reconnu ce regard, dominateur et moqueur, sûr de son pouvoir sur moi. - Montre moi ce que tu portes sous ton short. J'ai un tout petit peu hésité avant d'ouvrir les boutons et le zip. Mon short est tombé autour de mes chevilles, sur mes baskets, découvrant mon maillot de bain noir. - Enlève ton maillot et mets le dans ton sac... Allez, fais ce que je te dis... Je veux que ton cul soit à ma disposition... J'ai eu du mal à me défaire du short et du maillot à cause de mes grosses chaussures. Je suis resté à moitié nu, m'attendant à ce qu'il me demande de satisfaire une de ses envies. Mais il n'a pas bougé, se contentant de tourner dans la pièce à la recherche de je ne sais quoi. - T'as toujours les fesses aussi blanches. On voit très bien la marque de ton maillot... T'as pas un gros zob... Elle a raison Sylvie d'aller avec Khaled... Lui au moins, il sait bien la remplir... Il m'a dit que ta copine a un très joli slip rouge tout en dentelle... Khaled aime beaucoup quand elle vient le voir avec ce slip et le soutif assorti... Je savais qu'il me racontait cela pour me faire du mal et effectivement, j'avais un pincement au coeur en l'entendant se foutre de mon sexe ou faire allusion aux relations de Khaled et Sylvie, mais je ne voyais pas pourquoi il me parlait de ses sous-vêtements. - T'as quand même un joli cul pour un mec... Surtout bien rasé... Bientôt tu vas retourner dans ton pays et tu penseras à nous chaque fois que tu iras faire caca... Je suis sur que tu regretteras très vite nos gros zobs... T'as vraiment un joli p'tit cul tout blanc... Je suis sûr que le slip te ta copine t'iras très bien... J'ai blêmis. Ainsi donc, il voulait que je mette ce slip que je connaissais moi aussi très bien pour avoir beaucoup aimé l'enlever à Sylvie. - Tu sais où il est? Il connaissait la chambre par coeur et s'est tout de suite dirigé vers le coin de la penderie. Il a ouvert le sac de linge de Sylvie pour fouiller dedans. Constatant l'échec de cette recherche, il est parti vers le coin douche pour fouiller dans le sac de linge sale. Il l'a trouvé et l'a porté à ses narines. Il a profondément respiré le tissu plaqué contre son nez et sa bouche. - Ça sent bon la femelle en chaleur... Il me l'a jeté au visage. Je reconnus les odeurs intimes de mon amie. Le tissu était très doux. Beaucoup de dentelle. - Mets le... Vas y, mets... Je veux voir ton cul dans ce slip... Je l'ai enfilé lentement. Il m'allait assez bien et moulait parfaitement mes fesses. Par contre, il était difficile de faire tenir mon sexe dedans. Heureusement il n'y avait aucune glace assez grande dans la chambre pour que je puisse me voir. Ainsi vêtu, j'attendais le bon vouloir de Mourad. - Allez, mets ton short. On y va... Nous étions à la fin du mois d'août. Les touristes étaient très nombreux, la chaleur étouffante et les rue bruyantes. Le port de pêche était assez loin du centre ville. Le slip me gênait pour marcher. Le tissus soyeux glissait sur mes fesses et entre mes jambes, et mon pénis ne trouvait pas sa place. L'odeur de poisson pourri a commencé à envahir les rues pour devenir pratiquement insupportable sur les quais. J'en avais la nausée. Mourad n'était pas du tout dérangé. Il devait avoir l'habitude. Sur les jetées, il y avait plein de vieux cordages, des cageots à moitié éventrés, et des restes de poissons. Au bout de l'une d'elle un petit bateau de couleur blanche avec des bandes horizontales bleues. Un grand mât sans voile, un poste de pilotage, un fatras pas possible sur le pont, cordages enroulés, casiers vides, masques, tubas, filets. Nous montons à bord. Il y a trois hommes sur le pont. Ils nous saluent et nous souhaitent la bienvenue. Mourad leur rend leur salut en leur souhaitant une bonne journée et en me présentant. Les hommes me regardent, curieux et intrigués. Ils nous attendaient et abrègent les salutations d'usage car ils semblent pressés de prendre la mer. Mourad et moi allons à l'arrière du bateau. Assis sur un tas de vieux cordages, nous regardons les marins bouger rapidement le long des ponts. Le bateau se décolle lentement du mur et le bruit du moteur augmente. Des halètements poussifs de plus en plus rapides et de la fumée nauséabonde. Nous prenons le cap de la pleine mer. Une fois la mise en route faite, le plus vieux qui semble être aussi le patron, se met à discuter en arabe avec Mourad en me jetant de fréquents coups d'oeil. Il parle peu et hoche souvent la tête. Nous quittons lentement le port. Les odeurs disparaissent pour être remplacées par celles des embruns et de l'iode. Il fait un temps sublime. Je me laisse bercer par le tangage. Les marins s'affairent toujours à des tâches de maintenance. Ils préparent leur matériel et ne font plus attention à nous. Une légère brise nous caresse et diminue l'intensité du soleil sur nos corps. Une bonne heure s'écoule. La côte est loin maintenant et l'embarcation me semble bien frêle sur cette mer d'un bleu très sombre. C'est l'heure de la pose et le capitaine nous invite à nous joindre à son équipe pour boire un thé à la menthe. Un des marins nous sert en silence. Nous buvons. Le thé est délicieux. Le marin nous sert à nouveau. La palabre reprend entre le capitaine et Mourad. Les deux autres écoutent sans intervenir. Ils doivent avoir sensiblement mon âge. Ils sont assez grands, vêtus des pieds à la tête malgré la chaleur. Je réalise alors que je suis le seul à porter un short. Eux portent tous des pantalons de toile sur des polos marins. Ils sont costauds, les cheveux très courts, les dents blanches. Ils me sourient, du sourire que l'on fait généralement à n'importe quel touriste susceptible de donner de l'argent. Je serre bien les jambes pour que personne ne voit quel genre de slip je porte. Après la pose, le travail reprend. La navigation dure encore une bonne heure avant que nous stoppions entre plusieurs rochers qui émergent de la surface lisse de l'eau. Il y a peu de profondeur et on peu voir le fond de l'eau. Les deux jeunes se mettent en maillot de bain, des caleçons noirs assez larges. Ils sont très musclés, sans un gramme de graisse, le corps très bronzé. Ils prennent chacun leur masque ainsi qu'un tuba qu'ils ajustent sur leurs visage. Ils plongent du bateau et s'enfoncent dans les eaux claires à la recherche d'étoiles de mer. Ils font des aller-retours incessants pour remonter diverses choses susceptibles d'être vendues aux touristes. Les casiers se remplissent d'étoiles de mer, de coraux, de gros coquillages. Je les regarde travailler. Ils semblent infatigables et continuent inlassablement à plonger. Le capitaine range les produits dans des casiers. Il fait de plus en plus chaud. Je suis mal à l'aise avec mes grosses baskets. Au bout d'un moment, je m'en débarrasse. J'aurais aimé aussi ôter mon short mais cela m'était impossible. Par contre, je garde ma chemise qui protège mon torse des ardeurs du soleil. La pêche a duré deux bonnes heures. Les deux plongeurs s'arrêtent afin et rejoignent définitivement le bord, à peine essoufflés. Leurs caleçons collent contre leurs corps mouillés. Cela me trouble de voir leurs fesses moulées dans le tissu et surtout les bosses de devant. Deux grosses bosses noires. Je les dévisage discrètement. Des muscles partout, les torses imberbes et des jambes au contraire, couvertes de poils noirs frisés. Cela forme un contraste étonnant. Ils restent en maillot pour sécher au soleil. Il est déjà midi. Pas âme qui vive autour de nous. Nous sommes la seule embarcation à des kilomètres aux alentours et seuls sur cette immensité. C'est l'heure du repas. Les deux jeunes plongeurs font le service et amènent à manger sur le pont. Des fruits, des fromages, des salades de tomates et de poivrons, du pains, du lait, de l'eau, des dattes. Un repas frugal que nous mangeons assez rapidement. Ils parlent entre eux, ou plutôt, c'est Mourad qui parle. Je reconnais les prénom de Khaled, Sylvie, Damien et même Damia. Je comprends vite qu'il leur raconte mes aventures avec eux. Je me sens rougir quand les marins me regardent. La conversation s'anime et à voir leurs regards, ou entendre leur exclamations, ils ne semblent pas croire ce que raconte Mourad. Bien entendu, je suis complètement exclu de cette discussion dans leur langue. Je devine que les deux jeunes marins se nomment Rachid et Tahar. Je n'ai pas ouvert la bouche depuis mon arrivée sur ce bateau et personne ne m'a adressé la parole. À la fin du repas, les jeunes se lèvent pour débarrasser. Leurs peaux sont sèches, mais les caleçons de bain encore humides, collent toujours contre leurs bas-ventre et leurs fesses. - Damia aides les. Je lèves la tête vers Mourad avant de réaliser qu'il a employé le prénom féminin. Le patron comprend le français mais s'adresse à Mourad en arabe. Les deux jeunes aussi. Tout le monde parle le français dans ce pays. Mourad se remet à parler. Une longue diatribe. De nouveau le mot fatma, les prénoms de Sylvie et Khaled, et plusieurs fois le mien féminisé. Tous me regardent et je rougis de plus belle en baissant les yeux. Les deux jeunes finissent de ranger le restant du repas et nous servent à nouveau du thé brûlant et odorant que nous buvons à toutes petites gorgées. Le patron dit quelque chose à Mourad. Une phrase brève et sèche. Mourad sourit d'un air entendu. Les deux jeunes marins en font autant. Le bateau tangue doucement au grès de la houle. Je me sens prisonnier. Sentiment oppressant de solitude. - Le chef, il aimerai voir ta petite
culotte... Ma voix est toute cassée, à peine audible. Je le regarde apeuré et ne trouve pas la force d'en dire plus. Il ne m'en laisse pas le temps. - Pourquoi t'es venu tu crois?... Ne fais pas ta mijaurée... Je leur ai tout raconté... Ils ont l'habitude... On est en pleine mer et on est quatre... T'as aucune chance... Lève toi... Montre leur que tu es une vraie tapette... Lève toi je te dis sinon gare à toi... Il se lève en même temps que moi. Je reste debout les bras ballants et la tête basse. Mourad passe derrière moi. Les autres le regardent ouvrir mon short et le baisser. Le tissu tombe autour de mes chevilles devoilant le slip rouge en dentelle. L'angoisse noue mes tripes et ma gorge, mais comme d'habitude, il m'est impossible de me révolter. Je n'avais jamais subi ce genre de chose en plein jour. Et cette nouvelle étape m'enfonçait encore plus dans la soumission vis à vis de cet arabe. Des exclamations, des rires gras, des moqueries. Les pans de ma chemise cachent partiellement la culotte de dentelle rouge. - Montre ton derrière. Il me retourne brutalement pour que les marins voient mon postérieur emprisonné dans la culotte de dentelles. - Enlève ton short complètement... Tu n'en a plus besoin maintenant... Le capitaine veut que tu restes comme ça... J'obéis. Les rires et les insultes me vrillent les oreilles. Les exclamations augmentent de plus belle quand Mourad défait mes cheveux qui tombent sur mes épaules et qu'il découvre que je suis épilé. Les trois marins assis sur des caisses en bois ne perdent rien du spectacle. - Il faut leur montrer la marchandise. Mourad relève l'arrière de ma chemise, m'en couvre la tête, puis tire les pans de tissu vers le bas, m'obligeant à lever légèrement les bras et à me pencher. J'ai le torse entièrement nu et la tête complètement enveloppée dans ma chemise. Je ne vois que des ombres à travers le tissu. - Penche toi... Écarte les jambes... Il me claque les fesses pour que j'obéisse plus vite. Je prend appuis sur la rambarde assez basse. Des mains se posent sur mon postérieur tendu. - Montres leur ton petit cul de français. Les mains tirent sur le tissu du slip et le font entrer dans ma raie. J'ai les globes complètement dénudés. Mourad remonte le slip le plus haut possible. J'ai le cul complètement à l'air. La brise caresse mon derrière et me donne la chair de poule malgré la chaleur. Je reste sans bouger dans cette position. Je les entends parler, échanges rapides de mots arabe entrecoupés de rires et d'exclamations. - Ils veulent voir ton zob, la taille de ton zob... Mourad baisse le slip et passe sa main sous mon entrejambe. Il saisit mon sexe et le tire en arrière, puis il remonte le slip de dentelle le plus haut possible en faisant passer l'arrière du slip devant ma bite qui se trouve retournée et coincée entre mes jambes. Mon gland calotté pointe vers mon anus et écrase mes couilles. Je suis obligé de rester plié pour ne pas avoir mal. Je ne peux plus me redresser. Dans cette position, visage dissimulé sous la chemise, slip de dentelle remonté et sexe retourné entre mes cuisses, je leur offre toutes les parties de mon intimité y compris mon anus. Je suis comme un animal que l'on exhibe à des acheteurs. Je deviens un objet. Je reste dans cette position fesses nues et offertes et bite retournée. - Ils trouvent ton zob minuscule... Je leur ai dit que tu adorais quand on te bourre le cul... Ils veulent voir ton trou du cul... Il m'écarte les fesses, tire le fond du slip et leur dévoile ma raie humide de sueur et mon anus fripé. Il tire sur ma corolle pour bien dégager mon trou. Je me sent comme un animal de cirque. Pourtant malgré ce que je suis en train de subir, je me laisse faire, complètement docile aux caprices de Mourad qui tire de part et d'autre de mon anus tout en continuant de leur faire l'article. Je reconnais la voix du capitaine qui lui répond et les deux jeunes marins s'en mêlent aussi. - Au taf! Faut payer la traversée! Tout va très vite. Ils se saisissent de moi et je me retrouve nu, à genoux sur des vieux bouts de tissus, à moins d'un mètre du capitaine toujours assis entrain de siroter son thé. Rachid est devant moi et Tahar derrière. Le maillot de bain noir est déformé par la bosse devant mes yeux. Rachid le baisse à mi-cuisses. Son sexe jaillit devant mes yeux. Le gland cherche mes lèvres. - Le capitaine veut voir comment tu suces. J'ouvre la bouche et commence à sucer cette bite que je ne connais pas. Je suce en plein jour sur ce bateau. Le gland est très gros et j'ouvre les mâchoires au maximum de mes possibilités. J'ai la bouche pleine. Rachid tient fermement ma tête qu'il presse contre son bas ventre. Impossible de prendre la totalité de son sexe au goût salé. Le gland qui cogne au fond de ma gorge me donne envie de vomir. Mon visage touche la toison pubienne. La bite va de plus en plus loin dans mon palais en lâchant de temps en temps un peu de liquide au goût âcre. Le capitaine prononce quelques paroles. Rachid tombe à genoux sans lâcher ma tête, ce qui m'oblige à me mettre à quatre pattes. Sa queue ne quitte pas mon palais. Je comprends vite la suite des événements quand je suis obligé de bien écarter mes jambes. Tahar est derrière moi entre elles. Je sens ses jambes poilues contre les miennes et son bassin se frotte contre mes fesse cambrées. - Montre au capitaine ce que tu sais faire avec ton cul... Un liquide froid dans ma raie et immédiatement une légère douleur à l'anus. Je me cambre encore plus pour échapper au gland qui pousse contre ma corolle. - T'as rien à craindre, il est moins gros que l'épis de maïs... Rachid me bloque la tête et Tahar me tient par la taille. Une barre dure et chaude pousse sur ma rondelle pendant qu'on me tire en arrière par la taille. Mon trou s'ouvre lentement sous la pression. Un rire juvénile. Le gland très dur ouvre le passage et mon anus se dilate et cède. Je ne peux pas gémir quand le sexe tendu s'enfonce d'un coup dans mes entrailles. Tahar pousse de plus en plus fort et sa queue ouvre mon conduit anal. Le pieu très dur progresse rapidement dans mon ventre. - Alors le français... Tu dois être content... Tu en as une dans le cul et une dans la bouche... T'as tous les trous bouchés... Tu vas voir, ils vont bien s'occuper de toi mes potes... Le capitaine, il adore regarder ce genre de spectacle... Tu vas être une bonne pute maintenant... Ma bouche et mon cul ne sont plus que des trous chauds et humides au service de ces deux bites inconnues qui m'ouvrent les mâchoires et l'anus. - Regardez, même quand il bande, il a un petit kiki.. Rachid et Tahar me liment rapidement. Ils me semblent forts et invulnérables et leur sexes sont comme de l'acier brûlant. Mon anus s'ouvre de plus en plus sous les coups de boutoir du marin qui me nique sans fioritures et en m'écartant bien les fesses pour que le capitaine voit sa queue s'enfoncer dans mon ventre. Rachid utilise ma bouche de la même façon en poussant de plus en plus loin son gland au fond de ma gorge. Ce sont eux qui me tiennent sinon je m'écroulerais sur le pont. En plein jour, devant des spectateurs, je redeviens la larve bandante. Le sexe dans ma bouche m'étouffe et celui qui est dans mon cul brûle mon sphincter dilaté. Les marins deviennent de plus en plus brutaux. Rachid me tape sur les fesses en m'injuriant. - Dommage que Sylvie ne peut pas te voir le cul et la bouche pleine... Le capitaine, c'est un ami et je lui ai promis un beau spectacle... Rachid et Tahar me niquent de plus en plus vite. Ils sont infatigables et accélèrent encore en montrant bien au capitaine ce qu'ils sont entrain de me faire. Ils se donnent en spectacle devant leur chef. Je n'en peux plus et la douleur revient. Je me laisse malmener jusqu'à ce que la bite dans ma bouche libère son venin. Rachid presse mon visage contre son pubis m'obligeant à tout avaler. Tahar jouit aussi. Je sens mon ventre se remplir. Ils déchargent en moi à longs jets chauds et cela dure longtemps. Je bois toute la semence au goût très fort pendant que mon trou dégorge le trop plein de foutre. Dès qu'ils ont fini de jouir, ils se retirent et je m'écroule complètement épuisé. Je reste sans bouger au milieu d'eux. Rachid et Tahar remonte leur maillot. J'ai le cul qui coule et je garde en bouche le goût âcre et tenace du sperme que je vient de boire. Ils se désintéressent de moi. Mourad s'approche. - Allez lève toi... Je me relève en titubant. J'ai la tête qui tourne un peu. Je veux me rhabiller. Mes vêtements ne sont plus là. - Tu restes tout nu jusqu'à notre retour... Il faut rester à notre disposition... Jusqu'à demain soir... Tu vas être une bonne femelle soumise et obéissante... Il fouille dans mon sac, sort le paquet de tampons périodique. Il en prend un et le sort de son étui de protection pour le balancer devant mes yeux au bout d'une ficelle. Il parle en arabe aux deux jeunes marins qui sautent sur moi. Je me débat. Ils me penchent. Je crie et supplie. Ils ouvrent mes fesses. - Ton cul coule comme la chatte d'une femelle indisposée... On va arranger ça... Il me fourre le tampon dans l'anus. Seule la ficelle dépasse. On me lâche. Je suis leur femelle. - Tu restes avec... À poil... La ficelle pends entre mes jambes. Le travail reprend. J'ai envie de me tuer, de disparaître. Le capitaine ne fait plus attention à moi et range le produit de la pêche. J'ai les fesses glissantes. Je comprends qu'elles sont enduites d'huile d'olives. Je reste nu assis à l'arrière en attendant la fin de la pêche. La ficelle me gêne et le tampon gonfle. Les jeunes rejoignent le bord et nous levons l'encre pour quitter le coin. Le bateau se dirige vers le large sur une mer d'huile. Les deux jeunes marins sont couchés sur le pont et semblent dormir. Le capitaine est à la barre et Mourad regarde la mer. Je n'arrive pas à me débarrasser du goût du sperme et j'ai l'impression que mon cul est toujours ouvert. Le tampon prend de plus en plus de place. Je revois les deux bites qui viennent de me pourfendre et j'ai du mal à comprendre comment mon cul a pu accueillir des sexes d'une telle taille. En repensant à ce qui s'est passé tout à l'heure, je sens mon sexe frémir. Je bande légèrement et j'ai envie de me branler. Mais cela m'est impossible car Mourad ne me quitte pas des yeux. Au cours de l'après-midi, Mourad est venu à côté de moi. Il s'est mis face à la mer pour pisser devant moi. Son jet puissant tombait dans l'eau de mer en myriade de gouttelettes d'un jaune pale. Il tenait sa bite bien droite sur la gauche de mon visage. Je ne pouvais détacher mon regard de son engin et des couilles lourdes qui pendent entre ses cuisses musclées. Quand il a fini, il tourne son bassin vers moi, en tenant toujours son sexe. Il me le tendait sans rien dire. Il y avait encore une goutte d'urine sur le méat. - Nettoie... Je savais que les autres nous regardaient et qu'il faisait cela pour bien leur montrer que j'étais son esclave. J'ai sorti ma langue pour lécher la goutte de pisse qui sortait de son méat. J'avais envie de cette queue. De toute manière, de gré ou de force, je serais obligé de le faire - C'est bien... Prends bien ton biberon... Vas y, débrouille toi tout seul comme un grand... Tu sais bien sucer maintenant... je suis sur que tu suces mieux que Sylvie.. Je le suçais avec application en le tenant sous les fesses. Je plongeais mon visage dans sa toison pubienne en humant ses senteurs intimes et me délectais du goût de son sexe et de la douceur de la peau chaude. J'arrivais même à sentir les grosses veines qui couraient le long de sa hampe et palpitaient au rythme de ma fellation. Mourad se laissait faire et à un moment, il a tourné son torse vers les autres pour leur dire quelque chose à la cantonade. J'ai entendu des rires et des mots en arabe. Au bout d'un moment, il m'a plaqué la tête contre son ventre m'obligeant à le prendre presque entièrement en bouche. Son mandrin a craché sa purée chaude et âcre directement dans ma gorge m'obligeant à avaler goulûment les giclées puissantes. J'ai tout bu jusqu'à la dernière goutte avant qu'il ne me libère et s'en retourne avec les autres. Le bateau a stoppé, les deux jeunes sont repartis à la pêches. Je suis resté dans mon coin une bonne partie de l'après-midi. Cela ne me faisait plus rien d'être à poil au milieu d'eux. Ni de me balader avec cette ficelle pendouillante entre mes cuisses. Les deux pêcheurs continuaient de récolter divers coquillages. Ils semblaient infatigables, plongeant et remontant des dizaines de fois. Personne ne faisait attention à moi. J'étais une quantité négligeable à leur yeux. Je restais assis à poil, le bas ventre recouvert d'un vieux bout de toile et attendant la suite des événements. Mourad et le patron rangeaient la récolte et parlaient peu. Le soleil commençait à descendre vers l'horizon. D'ici deux heures, la nuit commencerait à tomber et j'attendais cela avec une pointe d'appréhension. Mourad m'a demandé de préparer du thé. Toujours à poil, Je l'ai fait, allant même jusqu'à les servir. Ils me regardaient à peine, se contentant de me tendre leur tasse avec indifférence quand ils en voulaient à nouveau. Puis la pêche a repris jusqu'à presque sept heures du soir. Après une dernière plongée, Rachid et Tahar se sont aspergés d'eau douce pour se débarrasser du sel qui collait à leurs peaux mates et très brunes. Puis ils se sont débarrassé de leurs short de bain pour revêtir des djellabas brunes. Ils ne portaient rien en dessous. Le patron a allumé un poste radio. De la musique arabe a envahi le pont. La nuit arrivait. J'avais un peu froid et la chair de poule. Mourad s'en est aperçu. Ils leur a parlé. - Allez viens, on va au chaud... La nuit ne fait que commencer...
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