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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA |
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Les aventures de Damien - début de l'histoire |
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ATTENTION : cette histoire décrit des pratiques sexuelles particulièrement violentes et dégradantes |
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Damien en Tunisie : suite n°2 J'arrive sur la plage. Il n'y a personne en cette saison. Le sable est toujours aussi fin et l'eau aussi limpide qu'il y a plus de quinze ans. Je retrouve l'emplacement exact ou nous avions l'habitude de venir et revois le corps fin de Sylvie couché à même le sable, offert aux rayons d'un soleil resplendissant. Je me revois aussi à plat ventre sur ma serviette en train de repenser avec angoisse à ce qui m'était arrivé la veille. Heureusement, Sylvie ne s'était aperçue de rien et j'arrivais à jouer la comédie du type sans aucun problème. Mais la douleur au fond de mon ventre me rappelle que nos deux amis arabes avaient abusé de moi. Abusé était-il vraiment le bon terme? Je n'avais rien fait pour leur échapper, et j'avais beau me dire que j'avais trop fumé, au fond de moi, je sentais bien que je me trouvais de fausses excuses. Cela faisait une heure que nous étions en train de bronzer et, il était presque midi. En nous réveillant, Sylvie m'a fait quelques avances que j'ai fait semblant de ne pas comprendre. Je n'avais vraiment pas envie de faire l'amour. C'était la première fois que cela m'arrivait de lui refuser. Elle n'avait rien dit et s'était levée plutôt rapidement. Sur la plage, elle a voulu savoir comment cela s'était passé la veille. - Très bien. Ils sont vraiment très sympa. Ce qui était sûr c'est que je n'étais pas prêt à retourner seul chez eux. Je me suis bien gardé de le dire. Je sentais comme un malaise entre nous. Elle m'en voulait et je ne savais si c'était pour ce matin ou pour l'herbe. Nous n'avons plus parlé. Le soleil commençait à sérieusement chauffer. Je suis parti me baigner. L'eau de mer m'a fait mal à l'anus. Je n'arrêtais pas de penser aux événements de la veille. Je suis revenu sur le sable chaud. Je me suis assoupi. J'étais crevé. Bien sûr ils nous ont rejoint en fin d'après midi. Quand je les ai vu, j'ai eu une peur terrible. Mais avec un aplomb superbe, ils on été absolument comme d'habitude. Au point que même moi, je commençais à me poser des questions. Bien sûr Sylvie a voulu en savoir plus sur l'herbe et sur notre soirée. - Elle a été super. J'écoutais leurs voix chaudes et encore un rien juvéniles. Ils étaient joyeux, décontractés, sympa. On leur aurait donné le bon dieu sans confession. Pourtant c'était bien leurs sexes qui m'avaient enculé sauvagement. C'était bien eux qui m'avaient sodomisé en me traitant de salope et d'enculé. - En tout cas les mecs, il faudrait moi aussi m'en faire profiter. Quelques micro secondes de silence avant que Khaled ne réponde à Sylvie d'une voix doucereuse en me regardant. - Pas de problème tu viens un jour et ont te
fais le même trip qu'avec Damien. Elle est partie en courant. Son maillot moulait parfaitement ses fesses rondes qui tanguaient au rythme de sa course. Nous l'avons regardés plonger dans l'eau. Ils se sont couchés à plat ventre en face à moi, têtes et bustes redressés en appuis sur leurs avant-bras. J'ai pris la même pose. Je ne savais pas quoi leur dire. Leurs regards se sont perdus derrière moi. À nouveau un sentiment de peur et de honte m'a traversé. Khaled a ébauché un sourire sans desserrer les lèvres. - Tu sais que même vu d'ici, t'as un super cul... J'ai rougi brusquement. J'osais plus les regarder. Toujours ce sentiment de honte. J'avais peur que quelqu'un entend ou que Sylvie revienne même si la voyais entrain de nager lentement. - Faut pas te faire de mouron. Ça restera
entre nous... J'avais beaucoup de mal à parler. À les affronter aussi d'ailleurs. Ils me faisaient un peu peur. Je regardais obstinément le sable fin de couleur clair. - Tu disais pas ça hier... Mon visage me brûlait. J'avais envie de partir, mais en même temps, je ne pouvais pas bouger. C'est vrai que je ne m'étais pas beaucoup défendu la veille. Je mettais mon attitude sur le compte de l'herbe que j'avais fumée et dont j'avais largement abusé. Mais ils commençaient à me mettre un sérieux doute dans mon esprit. Je regrettais amèrement ce rasage. Sylvie est revenue. Son corps fin et bien dessiné brillait au soleil. Tout est redevenu normal avec des conversations banales entrecoupées de baignades et de fous rires. À midi, nous avons mangé du maïs grillé que des enfants vendaient sur la plage. Ils faisaient griller les épis devant nous sur des petits braseros, avant de nous les tendre sur les feuilles qui protégeaient les épis. Je mangeais le mien en faisant semblant d'ignorer les très discrets regards assez équivoques que me lançaient Khaled et Mourad. J'avais de plus en plus de mal à me contrôler. En plus, ils étaient entrain de draguer ouvertement ma copine. Pour me remettre les esprits en place, je suis parti nager. Je me donnais à fonds dans une brasse endiablée . Une fois arrivé à une bonne distance de la plage, j'ai fais la planche en fermant les yeux. Des flashs de la veille martelaient mon cerveau. Je sentais bien que je bandais et que mon maillot comprimait de plus en plus mon sexe. J'avais envie de me masturber. Mais il y avait trop de monde autour de moi. Je me suis remis à nager en direction de la plage. La situation me paraissait intenable et je ne voyais pas d'issue pour moi. À mon retour, Sylvie et Khaled n'étais plus là! Mourad discutait avec le môme qui nous avait vendu les maïs. Ils me regardaient venir à leur rencontre et riaient en parlant en arabe. À la manière dont le gamin me dévisageait, j'ai tout de suite compris que Mourad lui parlait de moi. Ma voix m'a paru beaucoup trop hésitante. - Où est Sylvie? Il soutenait mon regard avec une espèce d'ironie narquoise. Ses yeux brillaient d'excitation. Il ne m'était pas difficile d'imaginer Sylvie seule avec Khaled dans la fameuse chambre. Pendant un court instant, j'ai voulu les rejoindre. Mais je ne sais pas pourquoi, je ne l'ai pas fait. Même aujourd'hui, il m'est difficile de reconnaître que j'avais eu peur d'affronter Khaled. Mourad parlait toujours au jeune qui n'arrêtait pas de me dévisager en souriant. Je restais debout comme un con, le corps dégoulinant et le visage inquiet. Ils se sont levés et Mourad s'est campé face à moi, les pieds enfoncés dans le sable chaud, jusqu'aux chevilles. - J'ai comme l'impression que ton amies va...
Bien Fumer... Surtout que je suis sûr que Khaled lui plaît beaucoup...
Elle a tout de suite accepté d'y aller seule avec lui... À mon avis, elle
ne va pas fumer beaucoup... Rien que de les imaginer, ça me fait bander... lls ont repris une assez courte conversation dans leur langue. Le môme a éclaté de rire en me regardant. Il a sorti une grosse clef toute rouillée du sac où il rangeait ses épis et l'a tendue à Mourad. Puis il s'est assis au milieu de nos affaires et s'est mis à dessiner des arabesques sur le sable. - Il va surveiller nos fringues... Viens avec
moi... Le ton moqueur qu'il employait ne laisser aucun doute sur ses intentions. Au regard appuyé que me lançait le môme, j'ai compris qu'il lui avait tout raconté. Le môme savait pourquoi je devais visiter ce bungalow. Comme je ne bougeais pas, Mourad m'a saisit par l'avant bras pour me tirer à sa remorque. - Allez viens... On a tout le temps. Sylvie et Khaled ne reviennent pas avant deux bonnes heures... C'est ce que Khaled m'a dit. Moi je suis sûr qu'il y arrivera plus vite... Et toi, c'est ton petit cul que tu vas me montrer... Je me sentais sans force et comme la veille, incapable de lui résister. Je me suis laissé entraîner. Nous avons traversé la plage, croisant peu de monde. Il y avait trois petites maisons blanches accolées à l'immeuble du casino. Toutes identiques, avec trois portes peintes en bleu-clair. La peinture s'écaillait laissant apparaître le bois et les couches successives des peintures précédentes. Des gamins jouaient au football dans le sable à quelques mètres de nous. Ils connaissaient Mourad. L'arabe a ouvert la porte du bungalow du milieu. Un grand trou sombre. Une odeur prenante. Il m'a poussé vers l'intérieur en appuyant fermement sur mes fesses. Nous sommes entrés et il a refermé la porte à double tour. Je ne voyais rien. Nous sommes restés immobiles sur le seuil à attendre que nos yeux s'habituent à l'obscurité ambiante. Le seul éclairage de la pièce provenait des raies de lumière blanches qui passaient par le bas et le haut de la portes et par quelques planches disjointes. Il y avait aussi deux petites ouverture en haut du mur donnant sur la plage. Il faisait chaud et humide et l'odeur m'était complètement inconnue. Un mélange d'iode et de poissons séché. - C'est ici que viennent les fatma qui ne veulent pas se faire niquer dans leur hôtel... Au début elles ont un peu peur et il faut les amadouer. Mais après elles reviennent... Avance vers la droite... Encore... J'avançais lentement, bras tendus en avant et en glissant mes pieds nus sur le sol rugueux. Il y avait des tas de débris sur le sol. Les mains du jeune arabe se sont posées sur mon maillot mouillé et me poussaient pour que je continue d'avancer. Il tenait mes fesses à pleines mains et les malaxait sans répits. Il a fait entrer mon maillot entre mes fesses. Mes tibias ont heurté un obstacle et je serai tombé si Mourad ne m'avait pas retenu par la taille. - Voilà, c'est là... J'ai vite compris que j'avais en face de moi, une espèce de lit de camp, assez bas, collé contre un mur. Je voyais le crépis blanc et des grandes taches noires. - C'est là-dessus qu'elles viennent se faire niquer... Des fois on est plusieurs pour la même... Elles adorent... Et toi aussi tu vas aimer être traité comme ces étrangères... C'est dans cette pièce minable que j'ai toute idée de rébellion, et que cet arabe que je croyais mon ami, est devenu en réalité mon maître. J'entends encore les cris et les rires des mômes jouant au ballon, qui traversaient cette porte bleue qui nous séparait du monde extérieur. Dehors, il y avait le soleil, la plage, les vacances, du monde qui s'amusait. Il aurai simplement suffit que je me débatte, me batte ou que je crie. Quelqu'un aurait entendu. Serait venu. Mais cela m'était impossible. Quelque chose me bloquait. Et encore aujourd'hui, je ne sais pas quoi. Je tremblais. J'avais la chair de poule malgré la chaleur. Ma peau était encore mouillée du bain de mer. Les mains chaudes au creux de mes reins m'ont fait frissonner. - Avec tes cheveux longs, tu ressembles vraiment à une femme... Khaled il dit que tu as le corps d'une fatma... Il a tout de suite deviné en te voyant que tu es une femelle dans ta tête... On a l'habitude de vous reconnaître... Il me parlait à voix basse au creux de l'oreille. Sa voix était grave et autoritaire. Une vraie voix d'homme qui n'avait rien à voir avec son âge. Il était sur de lui et de son autorité sur moi malgré son jeune âge. Il devait sentir ma passivité et en profitait. - Ta copine, c'est une belle femme... Elle a tout ce qu'il faut où il faut... T'en as de la chance... Et nous aussi... À l'heure qu'il est, elle doit être complètement nase et Khaled doit en profiter... Et toi tu vas bien m'offrir ton petit cul blanc... Les mots me faisaient mal. Tout combat me semblait vain. Je sentais son odeur de sueur et son haleine caressait ma nuque. Son corps chaud était plaqué contre mon dos et mes jambes. La bosse que formait sa virilité se pressait contre mes fesses nues. J'avais envie qu'il arrête de me parler de Sylvie. Mais lui prenait tout son temps. - Elle a le cul plus cambré que le tien... Des fesses un peu plus larges aussi... Remarques t'a aussi un joli cul toi... Tu vas bien me le montrer maintenant qu'il nous appartient. Il a baissé mon maillot mouillé sous mes fesses pour me peloter. Ses mains très chaudes me caressait lentement. Ses doigts ouvraient ma raie et me faisaient frissonner. Je le laissais faire. Il m'a débarrassé du tissu collant avant de reculer, me laissant nu dans cette chambre inconnue. J'ai deviné qu'il se mettait à poil lui aussi et j'ai vite senti la pointe de son sexe, dure et chaude, parcourir mes fesses encore humides. Impossible de contrôler les tremblements dont j'étais saisi. - Tu trembles comme une pucelle... Pourtant hier on t'a enfilé sans problème... Tu fais comme hier... Tu m'obéis sagement et je serai tout doux avec toi... Assieds toi... Allez assieds toi... Je me suis assis sur le bord du lit et Il resté debout en face de moi. Son corps se découpait en contre-jour dans la pénombre. Il s'est approché entre mes jambes qu'il a largement écartées. - Comment elle suce ta copine? Réponds... Pas grave... Je suis sûr qu'elle doit bien sucer... Khaled me racontera... Il adore qu'on le suce... Moi aussi j'aime ça... Je n'ai pas vu son sexe. J'ai juste senti une grosse pointe chaude et humide me caresser les joues avant de se poser sur mes lèvres serrées. C'était très doux et brûlant. J'ai eu un mouvement de recul qu'il a vite bloqué en me tenant la tête. - Montre moi comment elle te suce ta copine... Vas-y... Montres moi... Elle doit être en train de faire la même chose à Khaled en ce moment... Chez nous, les femmes elles ne veulent pas faire la fellation... C'est très sale... Il a forcé et j'ai ouvert la bouche. Sensation étrange que ce corps étranger dans ma bouche. Impression d'avoir un animal vivant dans la bouche. C'est gros et j'ouvre au maximum. Je ne peux pas bouger la tête et c'est lui qui s'enfonce dans mon palais. L'odeur est forte, musquée, animale, mélange d'iode et de sueur âcre. Je suis très troublé et ne fais rien pour me soustraire au pal qui entre lentement dans ma bouche sèche. Il donne des petits coups de reins et me pistonne la bouche. - Regarde... Tu la sens aller et venir... C'est comme ça qu'il faut faire... Serre bien avec tes lèvres autour de mon zob.. Vas-y... Ouvre bien la bouche... Elle est grosse hein... Essaye de la prendre le plus loin possible... Tu vois, ta bouche est moins profonde que ton cul... Vas-y suce bien... Tête bien mon biberon... Au bout de quelques minutes, il lâche ma tête c'est moi qui le suce mécaniquement. Instinctivement, je trouve les bons gestes et le bon rythme. Lui, reste bien campé face à moi, bassin tendu et mains sur ses hanches. - Applique toi bien, on a tout le temps... Vas y tète moi bien à fonds... Vas y, prends là au maximum... C'est bien... Tu vois que tu sais le faire... Vas-y, profite bien de mon zob... Le gland tape de plus en plus vite au fonds de ma gorge. Mes lèvres coulissent autour de la hampe bien droite. Je me débrouille de mieux en mieux. Je sens le membre palpitait contre ma langue. Le gland va tout au fond de ma gorge. - Tu fais très bien la fellation... Continue comme ça... Lèche bien mon sucre d'orge... Lèche sur toute la longueur... C'est bien... Continue comme ça, tu te débrouilles très bien... Aspire bien mon zob... Plus fort... Je l'ai sucé pendant longtemps. Il a utilisé ma bouche autant qu'il l'a voulu. Il s'en servait comme du sexe d'une femme et me pilonnait régulièrement le gosier de la même manière qu'il l'avait fait pour mon cul la veille. Je le laissais faire. Je participais aussi. Son sexe me semblait d'une taille imposante. Son gland m'obligeait à ouvrir toutes grandes mes mâchoires. J'entendais les bruits de succion et de la salive coulait sur mon menton. - C'est très bien... Il s'est reculé et m'a libéré la bouche. Je me suis essuyé le menton du revers de la main. Je ne voyais que son bas ventre devant mes yeux. La masse noir de ses poils. Celle moins sombre de ses couilles et le pal enduit de ma salive tendu vers le plafonds. - Je suis sur que tu suces mieux que ta copine... Les hommes ça fait mieux la fellation que les femmes... Je n'arrivais pas à détacher mes yeux de son sexe, dressé à quelques centimètres de mon visage, qui se découpait en ombre chinoise. Assez long, avec un gland comme un champignon, et la hampe légèrement courbée vers le ventre plat. Il m'a semblé complètement incroyable que j'aie pu sucer une bite d'homme. Et pourtant, j'avais encore envie de la sentir dans ma bouche. Et cette fois, je n'avais plus l'excuse de l'herbe. - Allez, ma poule, couche toi maintenant... Vas-y à plat ventre... J'ai compris ce qu'il voulait. J'ai osé lui dire que j'avais encore mal. J'avais un tout petit filet de voix et beaucoup de mal à articuler. - J'ai rien compris... Répète... Plus
fort... N'aies pas peur... - Je vais bien te préparer le trou... Ses doigts dégoulinant de salive me massaient lentement l'anus, sans chercher à entrer. Je sentais mes chairs répondre et s'ouvrir lentement... - T'as la rondelle bien souple... Je me demande quel effet cela te fait d'être un enculé... Tu vas voir, tu vas en redemander!
Le gland mouillé de Mourad s'est collé contre ma rondelle encore irritée par la séance de la veille. Mes fesses se sont refermées autour de la hampe épaisse et chaude. Ma voix m'a semblé terriblement soumise. - Non s'il te plaît... J'ai encore mal...
S'il te plaît arrête... Au ton qu'il avait, j'ai compris qu'il n'abandonnerait pas. Alors, j'ai fait ce qu'il me conseillait, me cambrant au maximum. Je tremblais en lui obéissant. Je lui tendais mon cul comme une pute... Il m'a fermement agrippé par les épaules. J'ai poussé du mieux que je pouvais en sentant la pression du gland contre mon trou. J'avais peur et j'avais honte. Les jeunes jouaient toujours au foot. La pression a augmenté contre mes sphincters contractés. - Vas-y pousse... Pousse... Fais caca... Un seul coup de rein très puissant. Une douleur fulgurante qui me coupe le souffle. Une brutale envie de vomir. Mon anus qui s'ouvre. Mon cri qui se casse brusquement. Puis plus rien. À peine une légère brûlure au derrière et le sentiment d'avoir du plomb dans les intestins. - Tu vois... Je te l'avais dit... Tu l'as jusqu'aux couilles... D'un seul coup... T'es un vrai enculé maintenant... C'était vrai, je sentais parfaitement les poils de son pubis contre mes fesses et ses couilles collées contre les miennes. Il m'avait sodomisé d'un seul coup de reins. Et sa grosse bite était entièrement plantée dans la profondeur de mon ventre. J'avais l'impression que mes entrailles allaient éclater. J'avais envie de chier pour me débarrasser de cet énorme suppositoire. C'est à ce moment précis que j'ai réalisé qu'il avait raison. J'étais devenu un vrai enculé. Ce bâton de chair qui venait de se planter du premier coup dans mon anus sonnait la fin de ce que j'avais été jusqu'à présent, et me transformait en individu hors de la norme. Dehors, les gamins criaient toujours, pendant que moi, j'avais le cul cassé par une bite d'arabe. Ils avaient certainement entendu mon cri de douleur. Comme le petit vendeur de maïs, ils avaient du deviner ce qui se passait dans le bungalow. Mourad est resté quelques secondes sans bouger, ses mains crispées sur mes épaules et son visage dans mes cheveux défaits. Puis il a levé son torse en prenant appui sur ses bras tendus. Seul son pubis était collé contre mes fesses. - Cambre toi bien le français... Offre moi bien ton cul... Décontracte toi, sinon tu vas avoir mal... Il a commencé à me sodomiser très lentement et je serrais les dents en sentant ma rondelle s'ouvrir pour épouser la circonférence de son membre qui coulissait dans mon intimité lubrifiée de salive. - Tu vois, Damien comme ton cul s'est bien ouvert... Maintenant je vais bien te niquer... Tu vas en redemander poufiasse... Le calvaire a duré longtemps. J'avais les chairs à vif, les intestins chamboulés, le ventre distendu. La hampe forait mes reins. Le gland ouvrait mon conduit et l'élargissait, la douleur ne me quittait plus. Je serais les dents laissant échapper de temps en temps des gémissements. Au bout d'un bon moment, j'avais le cul tellement ouvert qu'il pouvait y faire ce qu'il voulait sans ajouter de salive. Il allait de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu'à ce que le lit manque de s'écrouler. Il sortait tout son membre à l'exception de son gland et le replantait de toute ses forces en mes fesses m'arrachant un cri à chaque fois que je sentais sa queue taper contre ma paroi anale. Il me pilonnait le cul sans relâche. Son sexe frottait contre ma rondelle dilatée. De temps en temps, il s'arrêtait pour reprendre son souffle. Il m'a sodomisé longtemps avant de se vider en moi à grands jets de foutre qui m'ont remplis le cul. Il ne s'est pas aperçu qu'aux seuls frottements du matelas rugueux contre ma pine, j'avais éjaculé en même temps que lui. J'en ai été le premier surpris et complètement dérouté. Quand il s'est retiré, j'ai eu froid aux fesses. Je me souviens très bien de cette sensation de vide. L'impression d'un manque et en même temps de l'avoir encore en moi. - Tu vois, maintenant ton cul, il est à la bonne taille... On va bien te l'ouvrir... Il faudra faire tout ce qu'on veut... Sinon, on dira à Sylvie que tu n'est qu'un pédé... Allez remets ton froc... Ne t'essuies pas... Il faut que tu sentes que ça coule et que tu m'appartiens... Je me suis levé complètement crevé. Mon cul coulait et mes fesses étaient glissantes. J'ai laborieusement remis mon maillot de bain. J'avais un peu de mal à marcher. Mal au ventre aussi. Quand nous sommes sortis de la cabane, les gamins qui jouaient nous ont regardé. Un des mômes a pointé vers moi son majeur tendu vers le ciel, les autres doigt repliés. J'ai rougi. Ils ont tous rigolé de bon coeur. Nous avons retrouvé le petit vendeur de maïs. Avant de nous quitter, il a prononcé quelques mots que Mourad m'a traduit. - Il a dit qu'avec la tache que tu as sur le derrière du maillot, tout le monde sur la plage va savoir que tu viens de te faire niquer. J'ai rougi et me suis sauvé pour me précipiter dans l'eau chaude et salée.
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Debut de l'histoire de Damien | |||||
suite n°1 Damien | |||||
suite n°2 Damien | |||||
Suite n°3 Damien | |||||
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Suite n° 6 Damien | |||||
Fin de l'histoire de Damien | |||||
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