B.A.H.

acceuil   section soft    section xx     forum gay arabe   annonces diverses      annonces rencontres    livre d or   contact @

 

LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA

Fantasmes ou réalité ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons

Rue Coustou suite

 "C'est un nouveau concept de tourisme que nous mettons au point, MM Bogossian, Berger et moi-même, à la suite d'accords avec de grandes organisations homosexuelles. Elles souhaitaient que des touristes normaux  - pas venus pour le sexe comme en Asie du Sud-Est- puissent s'ils étaient homosexuels disposer de lieux d'hébergement où ils seraient à l'abri des problèmes d'homophobie.

Je suis Georges Forkass, j'ai déjà trois hôtels de ce type à San-Francisco, Los Angeles et Miami, et qui fonctionnent très bien grâce à des personnels recrutés sur le volet: ils doivent être beaux, stylés, ponctuels et obéissants. Mais je précise tout de suite que l'obéissance ne veut pas dire faire n'importe quoi. Il vous est interdit de vous droguer par exemple et si un client vous propose de la coke, vous avez un devoir de désobéissance; le plus souvent, ce seront des mot gentils, des mains baladeuses, de petits harcèlements sans conséquence. Il pourra vous arriver de recevoir des propositions de baise; si vous êtes d'accord, cela sera considéré comme du service et l'on ne pourra vous reprocher de vous être attardé dans une chambre; mais vous aurez le droit de refuser bien sûr.

C'est la direction qui jugera, d'après les rapports des clients et selon ses propres observations, si vous faites bien votre service ou si vous mettez trop de mauvaise volonté. Ce soir, nous allons faire connaissance, et je me réjouis déjà de cette soirée. Pour le look, vous convenez parfaitement, on verra pour le reste. Nous allons recruter dans un premier temps dix personnes, mais la campagne de recrutement dure une semaine; nous avons mis des annonces dans 7 journaux différents, un par jour. Vous, c'est Boum-boum, n'est-ce pas?" "Oui, Monsieur" On était touchants en choeur. "La décision définitive sera prise à l'issue des sept séances de tests; mais c'est à vous de faire bonne impression, et d'être au propre inoubliables.

Nous avons pris chacun une chambre et vous êtes priés de nous traiter comme vous le feriez de clients. Allez rejoindre Félix le portier; il vous indiquera où se trouvent le linge, le bar, ainsi que les jeux de carte, les livres et
cassettes audio et vidéo empruntables etc. C'est lui qui vous dira qui vous appelle. Et vous vous habituerez à des noms simplifiés, une ou deux syllabes au plus : Badou, Mo, So et Ed. OK? Des questions?" Je hasardai : "Ca doit
durer combien de temps?" "Vous êtes attendus? vous avez des gens à prévenir?" On se regardait et, l'un après l'autre, on a dit; "Non, pas vraiment!", "Moi non plus" "Non" "Ca va"."Eh bien donc pas de problèmes,
n'est-ce pas? A tout à l'heure. Allez-y, il y a place pour quatre dans l'ascenseur." Il n'avait pas répondu...

"Alors Edouard, non Ed, il faut s'habituer, t'en penses quoi? me sussura Badou, entré le premier et dont je sentais la bosse contre mes fesses.  "Ce qu'on avait dit, on refuse ce qui nous dégoûte. Ca risque d'être pas triste. Heureusement qu'aucun n'est moche." "C'est vrai, approuva Sothean devant moi" "Et toi, Mo, tu ne dis rien?" "Je ne sais pas trop bien" Il n'avait pas encore vraiment accepté son homosexualité, évidente pourtant, et se sentait agressé par ce qui le confrontait trop brutalement à son corps désiré ou désirant. Il allait avoir du mal. Felix nous montra les placards à linge, les verres, les alcools, les frigos, le meuble à cassettes et le système de fantômes sur lesquels écrire le numéro de chambre des emprunteurs; il accompagnait chaque déplacement d'un
mouvement du bras pour faire avancer l'un ou l'autre, la main bien plaquée sur la fesse ou la hanche, avec une préférence pour celle de Badou apparemment.

La sonnette retentit comme nous revenions vers le bureau d'accueil "Qui sera le premier?" Il décrocha :"Entendu, M. Forkass, je vous les envoie... Non, pas encore... Oui, bien sûr"  "Il demande Mo et So; avec deux draps de bain, quelques verres, une bouteille de vieux Chivas, une de jus de pamplemousse et une Badoit. Dépêchez- vous : chambre 503, au 5ème". "Oui, M. Bogossian, il est là. Oui je sais. Je vous l'envoie... Entendu" "Badou, tu montes au 505, avec deux draps de bain, des verres, deux grands, deux tout petits, une bouteille de vodka Wyborova, du jus de pêche et une Evian" "Non, désolé, M. Berger, il est avec M. Forkass.... Ed! cela vous convient? ... Très bien....Entendu." "Rassure-toi, il n'a pas eu l'air mécontent du deuxième choix. Tu lui montes comme à Forkass; lui aussi aime le Chivas, mais il prend des glaçons avec. Chambre 507. Tout se passera au 5ème, apparemment. Il a insisté pour que tu ne traînes pas; tu t'es déjà fait une réputation. Alors dépêche-toi." 

Je courus aux placards, sortis de grandes serviettes blanches qui n'avaient visiblement jamais servi, posai dessus un plateau, et dessus verres, bouteilles, seau à glaçons, comme j'avais vu faire aux autres et pris l'ascenseur que venait de renvoyer Badou. J'étais dans les temps. Tout s'était emballé d'un coup; les appels à la file. On n'entendait rien dans le couloir du 5ème, même en passant devant le 503 et le 505; c'était bien insonorisé! Je frappai : "Entre, c'est ouvert. Pose le plateau sur la table et apporte les draps de bain". La chambre était spacieuse, éclairée en plusieurs points, assez riche en miroirs qui constituaient sur toute la hauteur de la chambre un porte sur deux des placards muraux. La voix venait de la salle de bains située au fond à droite; et vu le bruit de l'eau, il prenait un bain.

Je restai sur le pas de la porte, les serrviettes sur les bras. "Entre! Pose cela sur les barres. Et viens me frotter le dos avec ce gant de crin. Enlève le haut de ton habit, tu vas mouiller  les manches. Alors! qu'est-ce que tu attends? Y a-t-il un bout de ton corps que je n'aurais pas vu tout à l'heure et que tu veux me cacher? D'ailleurs, enlève tout: comme ça, pas de crainte d'éclaboussure et tu es agréable à regarder". J'enlevai le haut, les chaussures et chaussettes, le pantalon, et hésitai pour le string "Tu peuxle laisser; c'est plus excitant. Allez! occupe-toi de mon dos" Il s'était assis dans la baignoire, puis penché vers l'avant, exhibant puis cachant de beaux pectoraux, avec des pointes de sein très rouges, un torse en V que je retrouvai  par derrière. La peau était très blanche, presque laiteuse, avec d'infimes taches de rousseur. Elle paraissait très délicate et le crin me paraissait bien agressif. "Je ne vous fais pas mal?" "Non! c'est très bien! Continue et va jusqu'en bas!" dit-il en se levant complètement. Ses fesses, très rondes et fermes, prirent bientôt la couleur rosée du dos, puis les cuisses, puissantes... Il était totalement glabre.

En se retournant, il me dit "Sur le torse maintenant, et attention aux mammelons!" Il bandait ferme, presque sous mon nez, et son gland venait parfois me toucher la poitrine, mais j'affectai de ne pas m'en rendre compte et de ne pas le regarder. "Le ventre et les cuisses!" Cette fois je ne pouvais plus l'ignorer et c'est carrément dans ma figure qu'il butait quand je me penchais pour frictionner les jambes. "Pour le sexe, pas de crin. Mais ta bouche qui est juste à portée serait la bienvenue. Tu peux refuser; c'est du domaine de ta responsabilité; mais si j'en juge par ce que je vois, dit-il en fixant mon string distendu, ça paraît te faire envie; dans ce cas, ne te gêne pas!" Cette fois, pas d'hésitation : il avait fait naître un tel désir que  je fermai les yeux en ouvrant la bouche, et je sentis avec délice sa pine s'y enfoncer. J'avais lâché le gant et remonté ma main droite entre ses jambes jusqu'aux couilles qui pendaient long après le bain chaud. Je les soupesais au rythme de ses mouvements de reins, lentement, tandis que ma langue lui enveloppait le gland. Une soudaine crispation me fit comprendre qu'il allait décharger, j'étais fou de désir et prêt à tout avaler, mais il se retira et gicla dans sa main. "Merci! c'était très bien. Tu peux disposer." C'est moi
qui me sentais frustré, j'avais la bite en feu et nul pompier à l'horizon. Je tentai le coup "Vous ne voulez pas que je vous sèche avec le drap debain" "Non, ça ira! Merci." La vache... Il paraissait m'avoir oublié tandis que je m'essuyais puis me rhabillais. Il osa même un "Tu es encore là!"

Quand j'arrivai au Rez de chaussée, Badou était là, les yeux brillants et les cheveux encore humides, parlant à Félix. Pas de So, pas de Mo. En approchant, j'entendis Félix demander "et après?" mais Badou se tourna vers moi et dit "Alors, ça s'est passé comment?" "Bien, je l'ai frictionné dans son bain." "C'est tout?" "Non, bien sûr! mais parce qu'il m'en a donné envie, je lui ai fait une pipe; j'aurais aimé la réciproque mais bezef; le salaud m'a ignoré et j'ai dû repartir avec ma trique" "Je peux arranger ça" proposa Félix, plein d'espoir. "Merci! ça va. Et toi, tu as eu droit à
quoi?" "C'est ce que j'expliquais à Félix; il m'a demandé de venir sous la douche le laver. Je t'avais dit que je me le serais bien fait. J'ai pas hésité. Il a senti ma bite lui toucher le cul quand je lui lavais le dos. Sans rien dire et sans se retourner, il l'a prise en main et l'a placée sur la rondelle. Sans rien dire, j'ai poussé, d'abord doucement puis avec
enthousiasme. Il a le cul ferme mais accueillant. Une fois en place, je l'ai ramoné ferme. Quand j'ai joui au fond de ses tripes, il a poussé un grand soupir et dit "Merci, mon petit! lave -toi et bois quelque chose avant de descendre; il faudra que je te rende la pareille tout à l'heure" Moi je n'ai rien contre; il a une belle bite. Mais ça veut dire que la soirée ne fait que commencer." "Vous en avez jusqu'à l'aube, commenta Félix".

L'ascenseur venait d'être appelé. Les deux autres sans doute. Ils sortirent peu après, So disant à Mo "Enfin, quand même, ne te plains pas! C'était cool!". De fait, ils avaient seulement été invités à évoluer nus dans la
chambre après s'être déshabillé l'un par l'autre. Il ne les avait pas touchés, mais Mo s'était senti humilié d'être ainsi transformé en objet soumis au bon vouloir et au regard. "Tu te rends compte : pendant qu'il prenait son bain, il nous avait placés l'un en face de l'autre comme en faction à la porte, demandant parfois à l'un ou à l'autre de lui apporter un Chivas, un journal, une cigarette et de reprendre la pose. Lui nous observait de profil. Le plus emmerdant, c'était ces regards, celui de So de face, celui du yankee de côté, qui me pesaient dessus, me faisaient passer des idées qui  m'irritaient, ou m'inquiétaient ou m'excitaient, et ça se voyait immédiatement dans mon allure et même à ma queue. Et puis de se savoir regarder, on fait attention à sa tenue, rentrer son ventre ou pas, se tenir plus ou moins droit, serrer ou pas les fesses, puis on se relâche, puis on se reprend... C'est insupportable" Il n'avait pas tort; l'américain avait trouvé un moyen subtil de marquer son pouvoir et de rendre dociles ses deux cobayes; sans doute avait-il senti la réticence de Mo et voulu le mater sans lui offrir de prétexte à un refus. Mo râlait, mais finalement il avait accepté et il était toujours là, déjà transformé par cette expérience, déjà habitué à être l'objet de regards indiscrets, ayant déjà un peu abdiqué de sa superbe ombrageuse. So n'y était sans doute pas pour rien, car il était
clair que Mo avait un petit faible pour lui, qui passait paradoxalement par le sentiment de sa propre force, de la fragilité de So, par un désir de protection un peu macho, par l'ambiguïté quasi féminine de So qui devait lui être comme une justification.

Felix s'apprêtait à faire un commentaire quand le téléphone sonna. "C'est entendu; dès que le livreur sera arrivé" Il
raccrocha et expliqua "Un traiteur va venir apporter le repas. Vous le monterez au salon qui se trouve au 5ème, servirez ces messieurs qui dîneront ensemble et vous tiendrez à leur disposition. Vous devriez calmer votre copain parce que s'il fait trop la mauvaise tête, non seulement il ne sera pas pris, ce qui le regarde, mais il va tendre la soirée et indisposer les patrons contre vous. Ce que j'en dis, c'est pour vous; mais je trouverais ça dommage parce que vous allez bien ensemble et, sans préjuger des prochaines fournées, vous me plaisez bien à moi. Voilà la camionnette; tenez-vous prêts" Il y avait trois lourds cartons, dont nous nous chargeâmes, Badou, Mo et moi, tandis que So nous ouvrait la porte de l'ascenseur. "Solidaires, hein? dit Badou. Même Mo acquiessa.

Au salon, les trois hommes étaient déjà, habillés strictement de costumes trois pièces et cravattes. "Badou, vous
serez aux ordres de Monsieur Bogossian; Mo à ceux de Monsieur Berger, Ed aux miens, annonça Forkass. Quant à vous, mon petit, dit-il à So, vous serez à la disposition de chacun, selon les circonstances et en fonction des besoins. Pour l'instant, disposez l'ensemble des plats et boissons sur la table buffet, en présentation. So, peux-tu venir, s'il te plaît! Plus près!Voilà, c'est bien. C'est incroyable ce que tu peux être gracieux et féminin, tout en étant heureusement vraiment un homme, dit-il en le faisant tourner sur lui-même plusieurs fois et en épousant de la main les formes de son corps. Il l'avait arrêté  et serrait ses cuisses dans son bras droit tandis que la main gauche venait de plonger dans l'entrebaillement, entre pantalon et rabat, et s'était saisi de la poche du string: "Oui, vraiment un homme, bien que tes attributs soient discrets; mais fermes et vigoureux, et appréciant les caresses; c'est très bon cela. T'arrive-t-il d'être actif en amour, ou seulement passif?" Et comme So, rougissant, hésitait à répondre à cette indiscrétion "Ce n'est pas parce que tu devras le faire; mais pour mieux te connaître. Comme je vous l'ai déjà dit à tous, vous ne ferez que ce que vous accepterez, vous ne serez jamais contraints. Mais il est bien évident que votre compréhensivité sera un plus et que nous souhaitons connaître vos goûts. Alors? Ne sois pas timide. Du reste, ta queue dans ma main est moins réservée; elle s'est éveillée avec enthousiasme" "A vrai
dire, je serais volontiers actif mais ma fragilité me fait le plus souvent prendre comme une femme" "Prendre, tu veux dire baiser? demanda Bogossian".


"Non, je voulais dire considérer comme, mais l'un finit par aboutir à l 'autre" "Et tu aimes?" "Ca ne me déplait pas mais je n'aime vraiment que quand j'aime, je veux dire quand il y a du sentiment". "Et toi Badou, demanda Bogossian, qu'est-ce que tu aimes faire? J'ai l'impression que tu as des dispositions pour tout... C'est vrai?" "C'est comme So: je prends mon pied avec des mecs que j'aime." "Des? Ce n'est pas l'amour unique, par conséquent? Et je te sens assez ouvert aux rencontres. Vrai?" "Disons que j'assume mes désirs sans états d'âme" "Et toi,Mo? tu assumes?" demanda Berger. "Je ne suis pas comme eux; je suis hétéro même si je n'ai rien contre les homos et si je suis prêt à travailler dans un esprit de coopération dans un hôtel comme celui-ci" "Bref, tu n'assumes pas; parce
que, si j'en juge par la séance dans les douches, les mecs te font bander et So est bien placé pour savoir que tu ne t'arrêtes pas là" "C'est Félix qui vous a dit ça?" demanda Mo, écarlate. "Le miroir des douches est une glace
sans teint et il y a deux caméras vidéo; nous avons tout vu de vos ébats, pas perdu un détail..." Pour une douche, c'en était une;

on se regardait, ahuris, et Mo avait l'air accablé tandis que les trois hommes étaient partagés entre le sourire comme Forkass ou le rire franc comme Bogossian. "Donc inutile de feindre avec nous et même avec toi-même; c'est clair que tu aimes les hommes, même si la complexion féminine de So te sert d'alibi vis à vis de toi-même et de ton orgueil viril, continuait Berger. Approche!" Mo hésitait, nous regardait cherchant auprès de nous un appui moral, mais il voyait des beaux mecs en tenue excitante et à demi bandant du rappel de leurs ébats récents et de la situation étrange où ils se trouvaient. Lui-même devait être troublé, partagé entre cette excitation qui me faisait
battre le coeur et palpiter le bas-ventre et une idée de lui-même à laquelleil était attaché autant pour lui que pour la galerie.
suite la semaine prochaine

 
HISTOIRES COMPLETES
Aventure dans le bus
Ahmed à la fac de nancy
La toute première fois, j'étais à casablanca
Le mokhazni de Dar Bouazza
Il était venu consulter ses emails avec son cousin
J'entrais dans le Hammam avec une très forte envie de...
Hicham m'avait invité chez lui dans le sud près de Taroudant
Chez nous, au bled, quand tu entres au service militaire....
Fantasmes ou realite ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons
Il venait juste de sortir de prison...
Ridah qu'on appellait Zarga
Sofiane, le Jardinier
Mongi, le fellah de la plage
Les histoires d'édouard
Amadou et la sécurité du supermarché
Rue coustou 1
Rue coustou suite 2
Fantasmes ou realite ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons
LES FEUILLETONS
Le feuilleton de pricrochole 1
le feuilleton de picrochole 2
L'histoire sans fin 1
Les aventures de Damien en Tunisie (merci à andré pour ce feuilleton)
 
Avertissement : attention cette histoire peut choquer certaines sensibilités par les pratiques décrites.
 
Debut de l'histoire de Damien
 
suite n°1 Damien
 
suite n°2 Damien
 
Suite n°3 Damien
 
suite n°4 Damien
 
suite n°5 Damien
 
Suite n° 6 Damien
 
Fin de l'histoire de Damien
 

retour à l'acceuil de la section adultes xxx

Fantasmes ou realite ? Toi aussi envoie ton histoire x à babinfo@swing.be et nous la publierons