LE FEUILLETON DE PICROCHOLE
|
Comme il se doit, le dernier episode est toujours en dernier donc en
bas de page :)) |
EPISODE UN
|
|
C'était une fin d'aprés midi
comme une autre à sidi mabrouk, quartier excentré de Constantine. La
chaleur en cette fin juin commençait à devenir supportable. Raouf, le
troisième fils de nos voisins, me dit qu'il avait quelque chose
à me montrer vers le château d'eau,sans préciser quoi. Moi,curieux de
nature,je le suivis avec une pointe d'excitation devant tant de
mystère.
Arrivé derrière le château
d'eau, Raouf me dit de me mettre à quatre pattes. je lui demandais pour
quoi faire. Il me répondit qu'il allait me montrer une chose que je ne
connaissais pas et que je voulais découvrir. En
effet,quelques jours auparavant, je lui avais demandé de me
montrer son zob
pour voir comment c'était fait chez les grands. Raouf
avait quinze ans, ,je n'en avais que onze. J'étais en short. il me dit
que s'il me montrait son zob, il faudrait que je lui donne autre chose
en échange. Je lui proposais de lui trouver des cigarettes. Il ne
semblait pas emballé. Il me demanda de lui donner
niquer pour récompense de l'ostentation de son membre. J'hésitai mais
l'envie de voir comment c'etait fut plus forte que mon appréhension.
L'accord conclu, il déboutonna son pantalon et fit apparaitre son
zob que je trouvais énorme en proportion du mien.J e ne fus, tout à
coup, plus trés sur de vouloir lui donner ce qu'il voulait
mais j'avais donné ma parole.
Une fois l'avoir bien reluqué,
Raouf commença à me descendre le short. J'éprouvais un frisson au
contact de ses mains. Il me touchait avec précision mais sans
brusquerie. Il me fit reprendre ma position et cracha de la salive
sur mon anus puis dans ses mains pour en enduire son zob. Intrigué,je
tournais la tète vers l'arrière. Il me dit de rester sur une main et
d'écarter une fesse avec l'autre. Il passa une des
siennes sous mon ventre et appuya son zob contre mon
cul. D'abord,il ne trouva pas le passage et forçait
sur le bas de mon zob,me faisant un peu mal. Il me demanda si ça y
était. Je lui dis non. Alors,il prit son zob avec sa main et le fit
cheminer sur mon cul jusqu'à etre en face . Je sentis son gland me
pénétrer doucement,pensant sur le moment qu'il allait me fendre
. Il fut trés doux et trés rapide. Il s'agita d'avant en
arrière quelques minutes et m'éjacula dans le cul,sans retenue. Puis
il se retira et je vis du sperme , pour la premiere fois,perler de son
gland qu'il s'appliquait à finir de vider.
Je voulais rentrer vite comme
si,tout à coup,j'avais peur que quelqu'un nous voit. La pénétration
ne m'avait pas fait grand chose. Le retour vers ma maison, le massage
que mes cuisses en marche me firent, provoquèrent un orgasme inouï
dans l'ensemble de mon corps, comme un tremblement ayant pour épicentre
mon anus
.
Quelque temps plus tard,son frère Abdel aziz, de trois ans son ainé,
me dit qu'il avait retrouvé mon vélo que je cherchais partout et que
je croyais volé. Aziz était costaud et déterminé. Il y
avait un petit bosquet ,un peu touffu en contre bas du château d'eau ou
je n'allais jamais car il était sale et servait de chiots et de
dépotoir . Abdel Aziz me dit que mon vélo était au fond et
qu'il fallait rentrer dans le bosquet pour aller le
chercher. Je ne voulais pas rentrer dedans alors il me prit
par la main et m'entraîna dans la
pénombre.
L'odeur du lieu était forte, mélange de merde et de détritus en
décomposition? Aprés quelques mètres dans le petit bois, il y avait
un talus qui remontait vers les réserves d'eau pompées en profondeur
et déversée dans de grands bassins. Le bruit des pompes
couvrait le bruit des pas. Mon vélo était là,caché par des branches.
Alors Abdel Aziz me dit que cela valait une récompense. Il me demanda
de me niquer. je ne pouvais l ui dire non,en souvenir du
plaisir que j'avais éprouvé avec son frère mais j'avais une certaine
crainte car il était vraiment comme un homme. Il m'étala sur le talus,
descendit mon short,cracha sur mes fesses, pris son zob et tenta de
m'enculer. Lui non plus n'avait pas le geste précis, révélant son peu
d'expèrience mais son zob était plus gros et il était plus brusque et
plus fort que Raouf. Quand il trouva l'ouverture, il
s'enfonça avec plus de force et me fit mal en mème temps que je
suffoquais presque tant son zob me parut
gros.
Il m'encula avec vigueur et
rapidité, un peu trop puisque son zob sorti sans qu'il s'en apercoive
et il continuait à limer contre mes couilles. Quand il s'aperçut de sa
sortie, il voulut me pénétrer à nouveau. Je n'étais pas d'accord car
son zob me faisait
mal, surtout au moment ou le gland rentre. Il ne tint pas compte de mes
protestations, recracha dans sa main pour enduire son membre , m'écarta
les
fesses avec vigeur et m'empala sans plus de précaution. Je
faillis défaillir. Il s'enfonça à fond en accélérant ses
mouvements. Son zob devint de plus en plus gros et il déchargea en moi.
Quand il se retira,j'avais
l'impression d'avoir le cul bourré d'huile. Je rajustais promptement
mon short puis,oubliant mon vélo et poussé par Aziz,,je grimpais le
talus. L'éffort,les mouvements firent monter en moi une vague de
jouissance qui m'irradia de l'entre cuisse .J e titubais sous la force
de l'onde qui m'emportait et le
plaisir que j'en éprouvais me fis,dorénavant ,attendre avec envie les
fois ou
je me ferai enculer par mes voisins.
|
 |
|
Après ces révélatrices
sodomies,Bachir qui habitait avec ses parents dans un gourbi prés de la
voie férrée,m'accosta un jour.Il me demanda,tout de go,si je voulais
lui donner la même chose qu'à Raouf et Abdel Aziz.Bachir était
presque noir de peau et avait le même âge qu'Aziz.Il fut,durant mon
séjour à Constantine,le plus assidu de mes sodomites.
Cette première fois,il voulait me
prendre dans l'allée,trés large et ouverte,qui desservait toutes les
maisons voisines.Ma pudeur me fit refuser cette exposition singulière
à tous les
regards,à l'irruption impromptu de n'importe qui.Il me proposa alors
d'aller dans le jardin potager de son père qui jouxtait la maison
d'Aziz et Raouf.Entouré d'une haie de rosiers,l'endroit me paru plus
approprié à une aussi intime relation:je l'y suivis.
Passé la tôle qui servait de
portail,il me dirigea vers le coté du jardin qui côtoyé la maison
voisine.Il me mit à genoux contre la haie,descendit mon short et sorti
son beau zob brun,fin et long.Les proportions de sont membres ne me
firent pas peur et c'est en toute confiance que je me laissait enduire
l'anus de salive.Je regardais Bachir lubrifier son sexe. Il commença à
m'enfiler quand je tournais la tète vers la haie au delà de laquelle
je vis les visages ravis des frères de Raouf.Je me relevais en
sursaut,provoquant l'incompréhension de Bachir,à genoux,le zob tendu
dans le vide .Je voulus partir.
Il me dit de le suivre au fond
opposé du jardin,derriere la palissade de branchages que son père
avait érigé pour faire sa sieste.Il était doux et sensuel,un
érotisme ravageur émanait de tout son etre.Maugréant de cette petite
mésaventure mais,malgré tout,éxité par sa personne,je consentis à
me donner à lui en lui faisant remarquer que je ne voulais pas être
exposé aux voyeurs,fussent'ils mes premiers introspecteurs!
Sur ce,accroupi derrière le cache
végétal,Bachir reprit sa tache sur mon fessier. De sa main,douce,il me
remis de la salive sur l'anus,insistant bien sur la peau fine et le
muscle rond de mon cul.Un frisson de plaisir me parcouru,annonciateur
d'une jouissance sublime.Sa façon de parer son sexe d'une abondante
couche de salive,mème,était érotique.Il s'approcha de moi,m'écartant
de sa main une fesse.J'écartais spontanément l'autre.Avec son zob dans
l'autre main,il passa son gland sur ma tendre chair pour étaler le
lubrifiant et masser de la manière la plus douce mon anus parcouru de
petites ondes électriques.Mon émoi était déjà bien réel quand il
mit son gland à l'entrée et commença à me pénétrer.Ce fut un
délice,son sexe fin se glissa en moi sans mal.L'attendrissement charnel
préparatoire m'avait rendu très accueillant.
Je me mis à quatre pattes et lui
m'enserra le bassin de ses mains,me balladant le long de son membre
immobile et droit,dans un mouvement lascif et langoureux qui fit monter
le plaisir à tel point que je jouis,empalé sur son zob ,comme si toute
sa sensualité,son pouvoir érotique m'avait été transmis par ce lien
si bien utilisé.Il ne tarda pas,enserré par
les contractions de mon cul,à jouir dans mes entrailles et sorti de moi
avec la même douceur de geste qu'il avait accompli auparavent.Il essuya
son sexe avec des feuilles séchées tandis que je remontais mon short
tout en le regardant faire,obnubilé par ce zob brillant et encore ferme
qui venait de me procurer un orgasme magnifique.Pour sortir du jardin,il
me prit par l'épaule et je m'aperçus que,mème le contact de sa main
à cet endroit me faisait de l'effet. En remontant chez moi,je fus pris
d'un deuxième tremblement qui me
terrassa de plaisir.On comprendra,aisément,à la lecture de cet
épisode que Bachir fut le mec à qui je m'offris le plus souvent.
|
|
 |
 |
EPISODE TROIS
|
|
Quelque temps plus tard,alors que je revenais du collège
du Mansourah,je
rencontrais Bachir dans la rue qui me proposa de porter mon sac d'école
en me raccompagnant vers ma maison.A peine arrivé,il me fit promettre
de venir le voir pour aller niquer.Je pris des gâteaux que Mélouka
avait préparés,je dis que j'allais faire un tour et je ressortis en
passant par le jardin.
Bachir m'attendait dans l'allée.Sans perdre un instant,il me prit
par l'épaule et nous filames entre les maisons jusqu'à celle de ses
parents.Passant devant chez lui,sa mère lui demanda s'il voulait manger
de la galette et m'invita à en prendre un bout avec son sourire
fatiguée de vieille fatma.On ne s'attarda pas et c'est en mangeant la
galette qu'il m'emmena sur le talus surplombant la voie férrée qui
allait du dépot des machines jusqu'à la gare de Constantine.
Ces locomotives étaient énormes et faisaient un
vacarme assourdissant lorsqu'elles passaient pesamment ,laissant
derrière elles,un nuage de fumée sentant le fuel.Le talus était
envahie d'herbes sèches et hautes ainsi que de grandes plantes vertes
dont je ne saurai dire le nom mais dont l'odeur est encore présente
dans la mémoire de mes sens.Une fois bien éloignés des regards et des
maisons,Bachir s'assit dans l'herbe en me
demandant d'en faire autant.Puis,comme les herbes me piquaient les
cuisses,il me proposa de m'asseoir sur les siennes .Je le fis
volontiers.On est resté ainsi,un moment à regarder le spectacle des va
et vient des machines ,entrant et sortant du dépot.
Je sentais contre mon cul,enfler la chair du sexe de Bachir dont ma
position assise sur le haut de ses cuisses avait émoustillé l'organe
du plaisir.N'y tenant plus,il me releva pour dégager son membre en
turgescence et fit descendre mon short le long de mes jambes.J'étais
là,le sexe à l'air,face à Contantine et le pont de sidi-rached tandis
que bachir avait craché dans sa main pour lubrifier son sexe.Il me
passa de la salive sur l'anus comme si il m'apposait un onguent de
toilette.Puis il me prit avec ses mains,posées au dessus du bassin et
me fit descendre vers son zob.Quand ma chair frémissante ,entra en
contact avec le bout de son gland,je fus pris d'un tremblement
d'exitation.je posai mes mains par terre ce qui permit à Bachir de bien
diriger son zob dans l'anus offert.
Je m'empalai doucement sur cette tige,dans une sensation
d'onctuosité comme quand on enfonce son doigt dans le beurre pour en
manger une noisette par pure gourmandise.Il était le doigt,j'était le
beurre.Il m'enfila de toute la longueur de son zob fin et sans fin,sans
mal,sans effort et j'aurai voulu que cela dure encore et encore.Cette
pénétration fut exquise.Il me reprit,alors par les hanches et
commença de me soulever puis de me descendre le long de son zob avec
fermeté mais sans brutalité.La sensation fut plus forte alors et mon
plaisir ainsi que le sien allèrent crescendo suivant le rythme qu'il
imprimait à notre union.
Puis il s'arrèta,tomba sa veste,sans me lacher,me retourna à quatre
pattes dessus et me niqua de plus en plus vite ,dans la chaleur torride
de ce
talus en plein soleil.Mon plaisir ainsi que le sien me terrassa et je
m'aplatis sur sa veste en jouissant de sa jouissance.Il se retira pour
finir
de se satisfaire
Encore tout tremblant de son assaut,je fus assailli par le zob et la
force d'Abdel Aziz que je n'avais pas vu ni entendu arriver.Déjà bien
ouvert par Bachir,il n'eut aucun mal à se glisser en moi mais moi,sans
l'avoir vu,je reconnu illico son zob et sa
manière,dure,volumineuse,assaillante.J'étais écartelé d'autant qu'il
était trés éxcité,sans doute parce qu'il avait assisté à ma
première baise.Il me culbuta comme une bète,s'enfonçant avec
force,trés vite,en m'attirant vers son zob de son bras fort et
décidé.Malgré la peur d'être déchiré ou à cause,le plaisir
explosa de mes entrailles et se diffusa à tout mon corps tel un raz de
marée.Il sortit de moi et m'inonda les fesses de son sperme
abondant,blanc en de larges giclées qu'il essuya aussitôt avec une
poignée d'herbes sèches cueillies avec célérité.
Je n'en pouvais plus et lorsque je vis arriver Malik,frère aîné de
Nabil,djamel et bouzid,décidé à profiter du festin,je fus pris de
panique.Je retrouvais mes esprits,remontais mon short et,prenant mes
jambes à mon cou,je détalais comme un petit lapin vers les cuves de
décantation de la station de pompage.Malik me faisait peur car il
était gros ,gras,avec un semblant de ressemblance au "sergent
Garcia"?Jamais je ne me serai donné à lui et d'ailleurs,surpris
ou vexé de ma réaction,je ne le revis plus même dans un coup fourré
dont Bachir venait de démontrer qu'il
en était un fiéffé instigateur
|
|