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LES HISTOIRES XX DE BAB AL HOURRIA |
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AVERTISSEMENT Ces histoires que vous allez lire décrivent des relations sexuelles entre adultes consentants, et surtout de même sexe! Si la législation ou les règles morales auxquelles vous obéissez vous interdisent de lire de telles choses, retournez en arrière, il y a plein d'autres choses à voir sur le Net. Si vous êtes curieux, allez-y, régalez-y et découvrez (peut-être) d'autres façons de profiter de la vie. Merci chers amis pour les histoires que vous nous envoyez et qui ravissent les visiteurs du site
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Les aventures de Damien - début de l'histoire |
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ATTENTION : cette histoire décrit des pratiques sexuelles particulièrement violentes et dégradantes |
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Damien en Tunisie : suite n°1 Jusqu'au jour... Nous bronzions et ils étaient brusquement devant nous. Ils étaient un peu plus vieux que nous et parlaient très bien le français. Ils se sont assis à côté de nous. Nous avons vite fait connaissance. Sylvie les regardait d'une façon que je lui connaissais bien. Surtout Kalhed. C'était un athlète. Un vrai! Grand, musclé, un sourire ravageur et un visage volontaire avec un regard profond. C'était un homme. Mourad était plus petit mais tout en muscle avec un regard assez vicieux. Nous ne nous sommes plus quittés de la journée. Au fil des jours, nous sommes devenus des amis. Ils nous faisaient découvrir des endroits superbes, inconnus des touristes. Ils savaient bientôt tout de nous. Je remarquais bien que Kalhed n'arrêtait pas de regarder ma copine et ses questions avaient toutes des connotations sexuelles implicites. Je ne m'en formalisais pas. Je connaissais Sylvie. Ils étaient très surpris de mes cheveux longs. De ma blondeur. C'est vrai que physiquement, ils étaient bien plus costauds que moi avec des muscles lourds et une force supérieure à la mienne. Ils portaient toujours le même maillot de bain, noir assez échancré. On ne pouvait pas ignorer les bosses que faisaient leur sexes. Heureusement qu'ils ne savaient pas que je me rasais. Au bout d'une semaine nous étions inséparables. Au cours de nos échanges, ils avaient vite découvert qu'on ne fumaient pas uniquement du tabac et ils nous ont proposé facilement de nous procurer des barrettes. Mon amie se méfiait un peu. Moi j'ai craqué tout de suite pour les rejoindre chez eux un soir en profitant de la fatigue de Sylvie qui ne désirait pas sortir. J'ai eu un mal de chien à trouver le chemin de leur maison. Je suis arrivé tard chez eux. Ils occupaient une pièce dans un immeuble des quartiers populaire de la ville. J'ai frappé. De la musique arabe assez entraînante traversait la porte. C'est Khaled qui m'a ouvert. Il a été à peine surpris de me voir sur le pas de la porte. Son visage s'est éclairé d'un large sourire de connivence. - Toi tu viens pour fumer un peu... Entre... Entre... La pièce était petite avec deux lits jumeaux qui occupaient pratiquement tout l'espace disponible. Il y faisait une chaleur presque insupportable et une très forte odeur de tabac éclipsait toutes les autres. Mourad était couché sur un des lits. Les deux étaient uniquement vêtus d'un slip noir. Cela m'a un peu troublé et gêné. Pourtant sur la plage, ils étaient toujours vêtus d'un maillot de bain noir assez serré. Mais là, nous n'étions plus sur la plage et ce n'étaient pas des maillot mais des slips. - Salut Damien... T'es seul? Khaled a baissé un peu la musique. C'est seulement à ce moment que j'ai remarqué que leurs slips étaient complètement transparents. Le tissu était plein de fines mailles d'où des poils noirs sortaient. On voyait pratiquement tout. C'était pire que si ils avaient été nus. Je n'avais jamais vu ce genre de sous-vêtement. Ils étaient comme d'habitude, souriants et insouciant, complètement indifférents et absolument pas gênés de leur presque nudité. - T'as de la chance. On en a reçu y a pas longtemps... Mais il vaut mieux le fumer ici... Attends je vais en chercher... Khaled est vite revenu en tenant à la main un chiffon blanc qu'il a déroulé sur le lit. Je suis resté complètement abasourdi par la quantité d'herbe. Il y avait au moins une dizaine de barrettes. D'un beau brun presque noir. Il y en avait pour une fortune. Je n'en avais jamais vu autant d'un seul coup. Je n'ai pas osé leur demandé comment ils pouvaient en avoir une telle quantité a leur disposition. - Tu vois on ne t'a pas menti... Tu veux goûter...
Tu vas voir, c'est du bon... Il vient direct du producteur... Mourad s'est redressé et s'est mis à préparer les joints. Il le faisait avec une habileté qui démontrait une longue pratique. Il m'a tout de suite tendu le premier. J'ai allumé le joint en forme de cône en aspirant fortement. L'odeur à tout de suite envahie la petite pièce. Je sentais la fumée remplir mes poumons. Le goût était bien plus fort que celui que je connaissais. Plus doux aussi. Je remplissais à fonds mes poumons. J'étais en manque. Mourad a fait plusieurs joints qu'il a déposé sur le chevet qui séparait les deux lits. Ils me les a montré. - Vas-y ils sont pour toi... Je commençais lentement à ressentir les effets habituels, je me détendais. La vie était belle et je me marrais avec eux. Ils me répondaient. Je rigolais bêtement et profitais de l'aubaine. Eux s'étaient recouchés et buvaient tranquillement leur limonade en me regardant tirer comme un malade sur le joint. Dés que j'ai eu finis le premier, Mourad m'a tendu un second joint. Je l'ai pris de bon coeur. J'avais la tête qui tournait. Leur herbe était bien plus forte que la nôtre. Il faisait chaud et je transpirais à grosses gouttes. La seule fenêtre de la pièce, était fermée. - Mets toi à l'aise tu vas crever dans cette chaleur... On ne peut pas ouvrir la fenêtre sinon, on risque de sentir l'odeur dans la rue. J'ai éclaté de rire et me suis mis torse nu. Je regardais leurs slips et devinais très nettement leurs sexes au repos compressé par le tissu tendu. Leurs corps bruns tranchaient sur les draps blancs froissés. Ils transpiraient à peine et leurs peaux mates brillaient légèrement. J'ai finis mon second joint. Khaled a augmenté le son de la radio. La musique était entraînante. J'étais heureux. Mourad s'est mis à danser devant nous. Une danse du ventre endiablée et lascive. Son bassin ondulait souplement. Les muscles jouaient librement sous la peau. Il s'est approché de moi. Son slip était tout proche de mon visage. Je me suis levé pour danser aussi. La chambre s'est mis à tourner. J'ai vacillé. - Doucement Damien. Tu vas tomber. On dirait que tu as trop fumé mon ami... Attends on va t'aider... Il m'ont couché sur un des lits. Le plafond dansait. Le lit aussi. Il fait trop chaud... - Attends restes tranquille... Je me suis laissé faire. Mourad m'as ôté mes chaussures et a ouvert mon pantalon de toile. Il me la retiré en tirant par le bas des jambes. Je me suis vite retrouvé en slip sur le lit. - Repose toi un peu... Tu fumeras tout à l'heure... Nous avons écouté de la musique en silence. Les notes tourbillonnaient dans mon crâne et je me sentais très bien. Un sentiment de joie et de plénitude. J'étais bien avec eux. Dommage que Sylvie n'était pas avec moi. Je regardais Mourad danser. Il ondulait lentement entre les deux lit en me regardant. Son corps fin se tordait comme une liane. Le slip noir me fascinait. J'avais envie de fumer encore un joint mais je n'osais pas le prendre. Khaled s'est allongé près de moi. Je sentais son odeur malgré le goût de l'herbe dans mes narines. Mélange de sueur, de sable et sel. Le lit était étroit et il s'est collé contre moi. Sa peau était chaude. La musique est montée d'un cran. Je voyais Mourad danser. Après tout devient flou dans ma tête. Je me souviens de la voix grave de Khaled à mon oreille. Son accent arabe. - On n'a pas eu de femmes depuis au moins un mois... Toi tu as de la chance tu as Sylvie... Je comprenais pas pourquoi il me disait cela. Il s'est collé un peu plus contre moi. Mourad est venu à son tour s'asseoir sur le même lit. Khaled jouait avec mes cheveux longs. - T'as des cheveux de femme... Ils sont beaux... Dans notre pays on n'a pas le droit de sortir avec une fille avant le mariage Il m'a recouvert le visage avec mes cheveux. Sa main a caressé ma joue. Je ne comprenais ce qui se passait. - T'as les joues douces. Tu n'as pas besoin de te raser tous les jours toi... Hier, sur la plage, on marchaient derrière vous. De dos, vous vous ressemblez Sylvie et toi... En plus vous avez tout les deux les cheveux de la même couleur et presque de la même longueur... Je ne me sentais pas très bien. J'étais très troublé et vaguement inquiet. Je ne devinais pas où ils voulaient en venir et j'avais l'esprit trop embrumé par l'herbe que je venais de fumer. Je tente de m'asseoir sur le lit pour me ressaisir, mais ils m'en empêchent en posant leurs mains sur mon torse et mes cuisses qu'ils commencent à caresser. - Tu as la peau douce... Une vrai peau de bébé... Pas beaucoup de poils... Et blonds en plus. On ne les voit presque pas... Et là, tu n'en as pas non plus? Une des mains s'est posée sur la bosse de mon slip. Je sursaute. Elle presse et malaxe le tissu. Je n'arrive pas à m'en débarrasser... Je bande. Je ne sais pas pourquoi. Impossible de me contrôler. J'ai un peu honte. - On dirait qu'il aime ça... Il rougit comme une gamine ma parole... Ils se parlent en arabe et prononcent plusieurs fois le prénom de mon amie. Je les regarde. - Khaled dit qu'il se ferait bien ta copine... Mais c'est pas grave t'es mignon aussi... Tu vas voir tu vas aimer... Beaucoup de français ne viennent chez nous que pour ça... Nous sommes les trois couchés sur le même lit. Je suis sur le dos et eux, m'encadrent, couchés sur le côté, têtes en appuis sur leurs bras relevés. Ils me regardent. Je tente de me libérer. - Ils faut que je m'en aille. Je n'arrive pas à articuler deux mots d'affilé. Devant mes mouvement pour me libérer, ils deviennent brutaux. Je suis complètement dans le coltard. J'arrive à me lever. Ils bondissent sur moi. Ils sont plus forts et je me débats faiblement... Je suis couché à plat ventre. Ils m'ont mis les fesses à l'air. Je sent leurs mains sur mon derrière. - Il a un joli cul tout blanc. Je tente de me dérober aux mains qui m'ouvrent les fesses. Ils me donnent des claques. J'ai la chair de poule. Ma gorge nouée, m'empêche de parler. Juste des grognements. - Bouges pas... Ils regardent mon anus. Avec leurs jambes, ils écartent et bloquent les miennes. Dans cette position, je me sens complètement à leur merci. Seule ma tête peut encore bouger. Je n'ai pas assez de force pour refermer mes jambes. - Je veux pas... Non... je veux pas... Ils me flattaient les fesses comme s'ils soupesaient de la marchandises. Leurs mains me malaxaient les globes, les claquaient, les écartaient, mettant à nue ma rosette. Je n'arrive pas à me dérober à leurs doigts inquisiteurs. Et quand je tente de leur échapper en bougeant mon cul, cela les fait rigoler et les excite encore plus. - Vas-y Damien, danse du cul... J'ai la tête qui va exploser sous l'effet de l'herbe. Je suis entrain de vivre un mauvais trip. Ce qui m'arrive est impossible. Pas avec eux. Je les croyais mes amis. Je me rappelle avoir parfaitement sentis de la salive sur mon trou. Ils crachaient à tour de rôle dans ma raie en visant mon anus et la salive coulait sur mes couilles tellement il y en avait. J'ai poussé un petit cri qui m'a semblé ridicule quand j'ai sentis des doigts me malaxer l'anus. Je tentais de serrer les fesses pour y échapper. Un doigt s'est vrillé dans mon fondement me faisant sursauter de surprise et de douleur. Je l'ai sentis s'enfoncer. - Il est bien serré... Tu crois qu'il nique
sa copine par derrière? Une claque sur les fesses. Le doigt reste bien planté au fonds de mes reins. Je crois que je pleure de honte et d'humiliations. - Réponds nous... Je suis sûr que tu l'as
jamais enculée. Le doigt coulisse dans mon trou. Cela m'irrite malgré la salive. Je le sens tourner. Un autre le rejoint. Il a des difficultés à entrer et force le passage. Je me débats vainement. Ils glissent dans mon fondement, tournent en m'ouvrant, vont et vient dans ma corolle qui se desserre lentement... - Tiens regarde comme ça entre bien... Je me tends sous la douleur. Des milliers de piqûres dans mon cul quand un troisième tente de rentrer. Le type pousse durement. Encore de la salive. Je crie de douleur.
- Ça y est... Il en a trois dans le cul...
C'est en train de bien s'ouvrir...
Je redresse la tête sous la douleur. Ils me la plaquent sur le lit. Je n'arrive pas à leur échapper. L'herbe me fait perdre tous mes moyens.
- Bouge pas le français. Tu vas voir comme
tu vas aimer...
Souvenirs d'un corps nu et lourd sur le mien. Des jambes poilues et musclées entre les miennes. Souvenir d'étouffement. Souvenir d'impuissance face à ces deux adolescents plus jeunes que moi et pourtant plus fort. La musique couvre les bruits de luttes pour échapper a ce que j'ai contre mes fesses. Des doigts d'acier me serre douloureusement la nuque. Un truc chaud et très glissant dans ma raie. Un bâton de chair qui se colle contre mon anus. Impossible de me cabrer. Je ne veux pas... Mais je ne peux rien faire à part les supplier de me laisser. Ils rigolent... - Tu vas être ma fatma Damien. Une bonne fatma bien obéissante et dévouée. Tu peux crier autant que tu veux... Les fatma crient aussi quand elles perdent leurs virginités... Tu vas voir on va bien te dépuceler... Je sens la pointe du sexe qui pousse sur mon anus. Je comprends qu'il m'est impossible de leur échapper. C'est très douloureux. Le type pousse mais rien n'y fait. - Vas prendre l'huile, j'ai pas envie de m'abîmer le zob... Quelques secondes de répit qui passent trop vite et bientôt je sens l'huile couler sur ma raie. Il m'agrippe aux épaules. Je ne sais même pas lesquels des deux est sur moi. Le bout du sexe est bien collé contre mon anus. - Tu ferais mieux de pousser comme si tu voulais chier. Je n'ai pas le temps de comprendre ce qu'il vient de me dire. Une douleur terrible. Je me cambre malgré le poids sur moi en criant de douleur. L'huile fait son effet. J'ai l'impression qu'on vient de m'exploser le cul. La souffrance monte a mon cerveau. Je manque de m'évanouir. Mon torse retombe sur le lit. - Putain! Elle est entrée toute entière du premier coup... Je te jure! Il l'a jusqu'à l'os... Je l'ai embroché comme un poulet... Je ne sens rien, la douleur oblitère toute sensation. J'ai du mal a retrouver ma respiration. J'ai l'impression d'avoir du feu dans le ventre. Je gobe de l'air frénétiquement. Cette barre dans mon ventre casse tout mouvement de rébellion. Je retombe inerte sur les draps. Une bouche contre mon oreille: - Cela ne te sert plus à rien de défendre. Maintenant t'es une vrai fatma... Tu ferais mieux de pas trop bouger et de me laisser faire sinon tu vas avoir encore plus mal... Tu vas voir comme c'est bon après... Elles disent toutes ça après... Il reste immobile en moi. Je n'ai plus envie de rien comme si, le fait d'avoir été sodomisé m'avait enlevé toute tentative de révolte. Je n'ai plus la force de crier ou de me soustraire au bâton brûlant qui est enfoncé en moi et que je commence à sentir. Je sens aussi des poils contre mes fesses. La douleur s'estompe un peu. Je sens mon anus se tendre autour de cette bitte conquérante et j'ai peur qu'il se déchire. Les jambes s'écartent plus m'obligeant à m'ouvrir encore plus. - Reste comme ça et tends bien ton cul... Je vais bien te niquer la rondelle... Tu vas voir comme je vais bien te casser le cul... Nous on sait que les français qui te ressemble adore se faire enculer... Le bassin de l'arabe commence à bouger au dessus de mes fesses meurtries. Il va très lentement. La douleur revient et me fait gémir. Je sens une barre dure et chaude sortir lentement avant de revenir dans mon ventre. L'huile qu'ils ont badigeonné sur ma raie remplie parfaitement son office de lubrifiant. J'ai l'impression qu'ont me vide de l'intérieur puis qu'on me remplit. C'est une sensation étrange et, à ma grande surprise, la douleur d'abord violente diminue petit à petit au fur et à mesure des va-et-vient. Le gland ouvre le passage et force mes reins. Mon anus s'assouplit rapidement. Impossible de retenir les pets qui s'échappent à chaque coup de reins. J'ai honte. Honte d'être là, de ne rien faire pour me révolter. Honte, de subir en silence cette loi du mâle. Honte de la rapidité avec laquelle mon cul s'est ouvert. Honte de sentir cette bite s'enfoncer sans aucun problème au fond de mon ventre. Je suis un enculé. Un mec est entrain de m'enculer. Un type est entrain de me planter sa bite au fonds de mon ventre. Et je ne fais rien pour me défendre. Je reste inerte sur ce lit, bras et jambes en croix, à la merci de ce sexe qui peu à peu trouve sa place dans mon intimité violée... La bitte va de plus en plus vite. Je ne tourne même pas la tête pour savoir qui est sur moi. La douleur est toujours là, mais elle reste très supportable malgré l'accélération. - Ma parole, il a le cul aussi ouvert que la chatte d'une femme... J'arrive à lui enfiler mon zob jusqu'aux couilles... Il va de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je pète sans arrêt et j'ai envie de faire pipi. Son gland tape régulièrement au fonds de mes entrailles. Quand il retire sa bite, j'ai l'impression qu'on m'aspire de l'intérieur. Quand il la replante au maximum, je tressaute. Il est de plus en plus violent. Je gémis de douleur et de honte. - Arrête de pleurer comme une fatma... Je n'arrive plus a me contrôler. L'effet de l'herbe et entrain de retomber lentement. Il pousse de toutes ses forces sur mes fesses et je hurle. Il reste immobile et ses couilles pressent les miennes. Cela dure quelques secondes. - Putain qu'il est bon!... Je lui ai remplis le cul à ras bord... Il reste sur moi encore quelques secondes sans bouger, son sexe toujours fiché dans mon cul avant de me libérer. Je pète très fort et ils rient de bon coeur. Une petite tape sur les fesses... - C'est bien Damien. Je t'avais dit que tu vas aimer... Tu as vraiment un super cul de salope... Je ne bouge pas et reste sur le lit, jambes écartées et visage dans les draps. Je n'ai plus mal. Plus du tout. Je suis ankylosé. J'ai surtout honte. Je ne veux pas les regarder. Je ressens un terrible sentiment de culpabilité. C'est de ma faute ce qui m'arrive. Je n'aurais jamais du venir chez eux. Le deuxième est à son tour couché sur moi. Je ne tente rien pour y échapper. Pourtant, je sais bien que lui aussi va m'enculer. Mais j'ai une impression d'impossible révolte. Son sexe est entre mes fesses pour chercher la bonne voie. - Tends bien ton cul... Lèves tes fesses... Vas-y offres toi... Je me suis cambré, en écartant bien mes jambes, lui offrant ainsi mes fesses meurtries. Il a vite trouvé le passage. - C'est bien Damien... Ne bouge plus... Laisse toi faire... Il s'est lui aussi enfoncé d'une seule poussée, me faisant hurler car la douleur est revenue brutalement pour disparaître aussi brusquement quand son bas ventre s'est collé contre mes fesses tendues. - Tu as raison Khaled, maintenant que le passage est ouvert, ça entre tout seul... Il a avalé tout mon zob... Mourad m'a sodomisé plus brutalement encore en donnant des coups de reins très puissants, qui propulsaient son gland contre mes intestins. Je criais à chaque coup de boutoir. - Vas-y tu peux pleurer... C'est bon une fatma qui pleure. Je ne m'étais même pas aperçu que je pleurais. Il m'a enculé de longues minutes en rajoutant de temps en temps de l'huile pour que ça glisse bien. Une odeur de merde flottait dans la chambre. Je sentais mon cul recracher du liquide malgré le sexe qui bouchait mon trou. Il me tenait fermement aux épaules et me bloquait à chacun de ses coups de reins - Je vais lâcher ma purée... Il est trop bon son cul... Cette fois-ci, j'ai sentis mon trou se remplir de liquide. C'est encore plus chaud que le sexe. Tout en jouissant, il continuait à me limer. Cela a encore duré un temps interminable avant qu'il ne me libère. Je suis resté sur le lit. Je n'osais pas les regarder. J'avais honte. Un sentiment d'humiliation. Je ne leur en voulais pas. Je m'en voulais à moi. Ils discutaient en arabe. Mon cul coulait. Les draps étaient sales sous moi. Je n'avais plus la notion du temps. - Eh Damien. Tu comptes dormir ici... Allez viens, lève toi... On ne dira rien à personnes... Ça reste un secret entre nous... Tu veux une cigarette... Je me suis redressé sans oser les regarder. C'est à ce moment qu'il ont découvert mon pubis rasé. - Putain c'est pas vrai! Il se rase la
queue... J'avais du mal à marcher... Ils n'arrêtaient de me consoler... J'ai encore fumé deux clops de hasch... Je me suis rhabillé en tremblant sans même me nettoyer. Je les ai quitté la tête basse. Ils ont remis leur slip avant d'ouvrir la porte. - Si tu veux de l'herbe tu peux revenir quand
tu veux... Ils ont refermé la porte en riant. Me laissant seul avec ma honte et mes remords. La nuit noire et les rues vides augmentaient mon sentiment de désespoir. Dans ma tête, le mot enculé tournait sans répit et je sentais mes fesses glissantes et mon trou coulant. J'avais l'impression qu'il ne se refermerait plus. Je suis rentré en me tenant le ventre. Sylvie dormait profondément. J'ai jeté mes vêtements sales avant de me nettoyer en touchant le moins possible mon anus irrité. J'ai pissé et chié dans les W-C à la turc. Je me suis endormi comme une masse à côté de ma copine
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Le feuilleton de pricrochole 1 | |||||
le feuilleton de picrochole 2 | |||||
L'histoire sans fin 1 | |||||
Les aventures de Damien en Tunisie (merci à andré pour ce feuilleton) | |||||
Avertissement : attention cette histoire peut choquer certaines sensibilités par les pratiques décrites. | |||||
Debut de l'histoire de Damien | |||||
suite n°1 Damien | |||||
suite n°2 Damien | |||||
Suite n°3 Damien | |||||
suite n°4 Damien | |||||
suite n°5 Damien | |||||
Suite n° 6 Damien | |||||
Fin de l'histoire de Damien | |||||
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